La mairie a alors débloqué des fonds, 28 000€, pour restaurer cette pièce du patrimoine bastiais, probablement du début du XVIIIème siècle, et plus précisément de la Chapelle de la Miséricorde, devenue le cinéma le Studio après la vente des lieux par la mairie en 1955.
La restauration a été confiée à une spécialiste, Anne Gérard-Bendelé, domiciliée à Vesoul.
Dans un premier temps, au mois d’avril, celle-ci a emporté quelques pièces de l’autel afin de les restaurer dans son atelier Franc-Comtois et depuis quelques jours elle se trouve en résidence à Bastia où en compagnie de Christophe Masseron, assistant restaurateur, elle travaille sur place.
Une fois restauré, avril 2020 selon les prévisions, l’autel sera confié à la confrérie de Saint Charles qui l’installera dans une petite chapelle de l’église.
CNI a voulu en savoir un peu plus sur cet autel et les pénitents noirs de l’époque.
Il a tendu son micro à Philippe Peretti, adjoint au patrimoine et à Anne Gérard-Bendelé.
La restauration a été confiée à une spécialiste, Anne Gérard-Bendelé, domiciliée à Vesoul.
Dans un premier temps, au mois d’avril, celle-ci a emporté quelques pièces de l’autel afin de les restaurer dans son atelier Franc-Comtois et depuis quelques jours elle se trouve en résidence à Bastia où en compagnie de Christophe Masseron, assistant restaurateur, elle travaille sur place.
Une fois restauré, avril 2020 selon les prévisions, l’autel sera confié à la confrérie de Saint Charles qui l’installera dans une petite chapelle de l’église.
CNI a voulu en savoir un peu plus sur cet autel et les pénitents noirs de l’époque.
Il a tendu son micro à Philippe Peretti, adjoint au patrimoine et à Anne Gérard-Bendelé.