Et au train où vont les choses, malgré les moyens qui sont engagés aux quatre coins de la région, on ne voit pas comment on pourrait infléchir cette autre courbe mortifère.
Les causes ?
On les connaît.
La vitesse, le manque d'attention, la fatigue et tout le reste, qu'il est inutile de le rappeler ici.
Les conséquences aussi. Et les mêmes effets dévastateurs. Avec au bout du choc, toujours terrible, les larmes. Et le sang. Des familles anéanties à jamais.
Parce que l'espace d'un dixième de seconde on a été distrait de sa conduite. Que l'on allait trop vite. Que l'on n'a pas respecté le code de la route. Que l'on a pris le volant alors que l'on n'était pas en état de le faire.
Mais surtout parce qu'il faut arrêter de se dire que l'accident ne peut arriver qu'à l'autre. Et qu'il n'y a que l'autre qui commet des erreurs au volant.
Que celui d'entre nous qui n'a jamais commis, même inconsciemment, d'imprudence en voiture ou qui ne s'est jamais laissé distraire par ce qui se passait hors de son habitacle, se lève !
Il faudra un jour être bien plus nombreux que ceux-là pour espérer juguler - définitivement ? - le fléau.
En attendant, commençons, tous tant que nous sommes, par lever le pied : les statistiques, froides et tragiques, assénées par la trop meurtière actualité routière, s'en porteraient mieux !
Les causes ?
On les connaît.
La vitesse, le manque d'attention, la fatigue et tout le reste, qu'il est inutile de le rappeler ici.
Les conséquences aussi. Et les mêmes effets dévastateurs. Avec au bout du choc, toujours terrible, les larmes. Et le sang. Des familles anéanties à jamais.
Parce que l'espace d'un dixième de seconde on a été distrait de sa conduite. Que l'on allait trop vite. Que l'on n'a pas respecté le code de la route. Que l'on a pris le volant alors que l'on n'était pas en état de le faire.
Mais surtout parce qu'il faut arrêter de se dire que l'accident ne peut arriver qu'à l'autre. Et qu'il n'y a que l'autre qui commet des erreurs au volant.
Que celui d'entre nous qui n'a jamais commis, même inconsciemment, d'imprudence en voiture ou qui ne s'est jamais laissé distraire par ce qui se passait hors de son habitacle, se lève !
Il faudra un jour être bien plus nombreux que ceux-là pour espérer juguler - définitivement ? - le fléau.
En attendant, commençons, tous tant que nous sommes, par lever le pied : les statistiques, froides et tragiques, assénées par la trop meurtière actualité routière, s'en porteraient mieux !