Aujourd'hui ce sont les bizarreries du dernier procès-verbal de la dernière commission de discipline de la ligue qui interpellent.
Sinon comment expliquer la modification apportée au procès-verbal des sanctions prises à l'encontre du Sporting publiée sur son site internet le 13 décembre..
Première rédaction jeudi à 22 heures 30 où il est fait état des « manquements répétés quant à l’organisation des matchs signalés par un courrier du 12 novembre 2012 par la préfecture de Haute-Corse concernant notamment l’absence de transmission de renseignement pour préparer les réunions de sécurité, la non désignation d’un directeur de sécurité systématique la non prise en compte des dépenses liées à la sécurité».
Deux jours plus tard, le communiqué modifié reproche au club « l’absence de transmission de renseignement pour préparer les réunions de sécurité (alors que le premier communiqué faisait état d'absence systématique aux réunions....) , la non désignation d’un directeur de sécurité permanent » (et non plus systématique là aussi).
Joseph Franceschni qui a donc été nommé directeur de la sécurité du Sporting, s'est vu accuser sur la place publique d'être systématiquement absent des réunions – alors que la LFP a été informée de sa nomination – avant de lui reconnaître une « présence permanente... » lorsque cette même LFP s'est aperçue qu'elle avait commise une erreur...
Cette modification effectuée dans la précipitation et en catiminiqui ont donc relayé de « fausses accusations » est-elle le signe d'un manque de lucidité de la part de la Ligue de Football Professionnel dans cette affaire ?
Il est permis de se poser la question.
Clairement mise en cause, la préfecture de Haute-Corse n'a toujours pas réagi. Surtout – et c'est à souligner – que les arguments détaillés par la Ligue de Football Professionnel, sur ce point, sont faux. En effet, le directeur de la sécurité du Sporting a été nommé le 13 octobre dernier lors d'un Conseil d'Administration du club. Concernant le non-paiement des frais de sécurité, ils sont débités chaque mois directement sur le compte bancaire du club bastiais par le Trésor Public.
Faut-il encore une preuve de tout le bien que la LFP veut bau Sporting?
Rappelons enfin que c'est jeudi en fin d'après-midi qu'une réponse définitive sur l'abandon provisoire ou la confirmation de la suspension à titre conservatoire du stade de Furiani sera apportée.
La réunion se tientau siège du CNOSF avec d'un côté les dirigeants du Sporting et leur avocat, Maître Albertini, et de l'autre des représentants de la LFP qui seront reçus par un ancien membre de la commission de discipline de la LFP, Philippe Missaka en l'occurrence.
La décision interviendra en fin d'après-midi.
André CARLI
Sinon comment expliquer la modification apportée au procès-verbal des sanctions prises à l'encontre du Sporting publiée sur son site internet le 13 décembre..
Première rédaction jeudi à 22 heures 30 où il est fait état des « manquements répétés quant à l’organisation des matchs signalés par un courrier du 12 novembre 2012 par la préfecture de Haute-Corse concernant notamment l’absence de transmission de renseignement pour préparer les réunions de sécurité, la non désignation d’un directeur de sécurité systématique la non prise en compte des dépenses liées à la sécurité».
Deux jours plus tard, le communiqué modifié reproche au club « l’absence de transmission de renseignement pour préparer les réunions de sécurité (alors que le premier communiqué faisait état d'absence systématique aux réunions....) , la non désignation d’un directeur de sécurité permanent » (et non plus systématique là aussi).
Joseph Franceschni qui a donc été nommé directeur de la sécurité du Sporting, s'est vu accuser sur la place publique d'être systématiquement absent des réunions – alors que la LFP a été informée de sa nomination – avant de lui reconnaître une « présence permanente... » lorsque cette même LFP s'est aperçue qu'elle avait commise une erreur...
Cette modification effectuée dans la précipitation et en catiminiqui ont donc relayé de « fausses accusations » est-elle le signe d'un manque de lucidité de la part de la Ligue de Football Professionnel dans cette affaire ?
Il est permis de se poser la question.
Clairement mise en cause, la préfecture de Haute-Corse n'a toujours pas réagi. Surtout – et c'est à souligner – que les arguments détaillés par la Ligue de Football Professionnel, sur ce point, sont faux. En effet, le directeur de la sécurité du Sporting a été nommé le 13 octobre dernier lors d'un Conseil d'Administration du club. Concernant le non-paiement des frais de sécurité, ils sont débités chaque mois directement sur le compte bancaire du club bastiais par le Trésor Public.
Faut-il encore une preuve de tout le bien que la LFP veut bau Sporting?
Rappelons enfin que c'est jeudi en fin d'après-midi qu'une réponse définitive sur l'abandon provisoire ou la confirmation de la suspension à titre conservatoire du stade de Furiani sera apportée.
La réunion se tientau siège du CNOSF avec d'un côté les dirigeants du Sporting et leur avocat, Maître Albertini, et de l'autre des représentants de la LFP qui seront reçus par un ancien membre de la commission de discipline de la LFP, Philippe Missaka en l'occurrence.
La décision interviendra en fin d'après-midi.
André CARLI