La crise est déjà bien installée, on ne va pas donc en rajouter. Le Sporting n'est pas au mieux, et les nombreux supporters qui espéraient le voir jouer un rôle important dans ce championnat après la 4e place obtenue la saison dernière, ont du mal à cacher leur déception aujourd'hui.
Quelques-uns plus déçus que les autres ont appelé, par banderoles interposées, les joueurs à se montrer dignes du maillot qu'ils portent et à l'entraîneur de partir. Des "Brouard Fora" après lui avoir presque érigé une statue la saison dernière : la démarche, on en a vu beaucoup d'autres dans le passé, n'est pas nouvelle sous le ciel bastiais.
Il est vrai que le match, abouti, face aux leaders angevins, avait contribué à rasséréner un ensemble qui, malgré quelques soubresauts spectaculaires, n'avait pas encore véritablement convaincu les tribunes toujours bien garnies de Furiani, ni par sa constance ni par sa façon d'évoluer. Certes, l'enthousiasme était là, mais il y avait aussi ce frein qui empêchait les plus fervents supporters du Sporting de communier totalement avec leurs couleurs.
La dernière sortie complètement ratée à Valenciennes venant après une seconde période catastrophique et la défaite face à Caen semblent avoir, aujourd'hui, constitué autant de gouttes d'eau qui ont fait déborder les vases de la colère des plus fidèles du Sporting.
On est bien d'accord. Sans doute l'entraîneur a-t-il une part de responsabilité dans la situation actuelle, les dirigeants ne sont-ils pas exempts de reproches et les joueurs, qui parfois commettent des erreurs de débutants, méritent-ils, eux aussi, d'être rappelés aux devoirs de leur charge que ce maillot bleu impose.
Mais faut-il pour autant dire "fora" à tout le monde ?
Surtout pas.
En revanche il faut que tous ensemble, nous battions notre coulpe. L'entraîneur, les dirigeants, les joueurs et les supporters surtout lorsqu'ils font perdre un point qui pourrait s'avérer crucial pour leur club, dans un proche avenir.
Oui chacun pour ce qui le concerne peut se dire déçu et en colère. Dépité, et révolté. Remonté contre l'un. Vouer aux gémonies les autres.
Mais personne ne doit perdre de vue que, au-delà de la crise de l'heure, au-delà des mots et des maux, au-delà de la colère, au Sporting, le rouge est, désormais, mis !
Quelques-uns plus déçus que les autres ont appelé, par banderoles interposées, les joueurs à se montrer dignes du maillot qu'ils portent et à l'entraîneur de partir. Des "Brouard Fora" après lui avoir presque érigé une statue la saison dernière : la démarche, on en a vu beaucoup d'autres dans le passé, n'est pas nouvelle sous le ciel bastiais.
Il est vrai que le match, abouti, face aux leaders angevins, avait contribué à rasséréner un ensemble qui, malgré quelques soubresauts spectaculaires, n'avait pas encore véritablement convaincu les tribunes toujours bien garnies de Furiani, ni par sa constance ni par sa façon d'évoluer. Certes, l'enthousiasme était là, mais il y avait aussi ce frein qui empêchait les plus fervents supporters du Sporting de communier totalement avec leurs couleurs.
La dernière sortie complètement ratée à Valenciennes venant après une seconde période catastrophique et la défaite face à Caen semblent avoir, aujourd'hui, constitué autant de gouttes d'eau qui ont fait déborder les vases de la colère des plus fidèles du Sporting.
On est bien d'accord. Sans doute l'entraîneur a-t-il une part de responsabilité dans la situation actuelle, les dirigeants ne sont-ils pas exempts de reproches et les joueurs, qui parfois commettent des erreurs de débutants, méritent-ils, eux aussi, d'être rappelés aux devoirs de leur charge que ce maillot bleu impose.
Mais faut-il pour autant dire "fora" à tout le monde ?
Surtout pas.
En revanche il faut que tous ensemble, nous battions notre coulpe. L'entraîneur, les dirigeants, les joueurs et les supporters surtout lorsqu'ils font perdre un point qui pourrait s'avérer crucial pour leur club, dans un proche avenir.
Oui chacun pour ce qui le concerne peut se dire déçu et en colère. Dépité, et révolté. Remonté contre l'un. Vouer aux gémonies les autres.
Mais personne ne doit perdre de vue que, au-delà de la crise de l'heure, au-delà des mots et des maux, au-delà de la colère, au Sporting, le rouge est, désormais, mis !