Pierre Pellerin, soupçonné d'avoir masqué l'ampleur de la radioactivité au passage du nuage de Tchernobyl, avait été le seul a avoir été poursuivi pour "tromperie aggravée" mais la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris l'avait mis hors de cause le 11 Septembre dernier.
Aujourd"hui donc c'est la Cour de Cassation confirme les conclusions de la cour d'appel qui dans son arrêt estimait notamment qu'il "n'a pas été consaté, en France, une augmentation significative des cancers de la thyroïde" et que, "en l'état des connaissances actuelles, impossible d'établir un lien de causalité certain entre les pathologies constatées et les retombées du panache radioactif de Tchernobyl".
L'arrêt qui n'avait donc guère tenu compte d'un rapport d'experts, dévoilé durant l'été 2011, établissant qu'une augmentation importante de la proportion des troubles de la thyroïde avait été observée en Corse après l'accident de Tchernobyl.
Un arrêt qui ne va pas manquer de susciter des remous à l'heure où l'enquête diligentée par l'Assemblée de Corse est en train de compiler des preuves médicales de la recrudescence des troubles de la thyroïde sur l'Île.
Aujourd"hui donc c'est la Cour de Cassation confirme les conclusions de la cour d'appel qui dans son arrêt estimait notamment qu'il "n'a pas été consaté, en France, une augmentation significative des cancers de la thyroïde" et que, "en l'état des connaissances actuelles, impossible d'établir un lien de causalité certain entre les pathologies constatées et les retombées du panache radioactif de Tchernobyl".
L'arrêt qui n'avait donc guère tenu compte d'un rapport d'experts, dévoilé durant l'été 2011, établissant qu'une augmentation importante de la proportion des troubles de la thyroïde avait été observée en Corse après l'accident de Tchernobyl.
Un arrêt qui ne va pas manquer de susciter des remous à l'heure où l'enquête diligentée par l'Assemblée de Corse est en train de compiler des preuves médicales de la recrudescence des troubles de la thyroïde sur l'Île.