Le directeur de cabinet, Mejdi Jamel, Laureline Roux, Déléguée du Préfet à la politique de la ville dans les quartiers prioritaires, Juliette Ponzevera, Présidente de l'OPH, Pierre Masternak, Chargé de tranquillité résidentielle à l'OPH ainsi que des services de police en charge de cette opération
La question des épaves sur la voie publique est un sujet important pour de nombreux habitants de la ville, spécialement sur le parc des bailleurs sociaux. Depuis septembre 2020, un groupe de travail opérationnel se réunit tous les 15 jours pour coordonner les opérations d’enlèvement et libérer rapidement des places au sein de la fourrière.
«Le plan mis en place il y a 9 mois, pour une durée de 12 mois, consistait dans un premier temps, à recenser les véhicules, puis dans un deuxième temps, à procéder aux opérations d'enlèvement pour mettre à la casse les véhicules non identifiables et hors d'usage et placer en fourrière les véhicules-ventouses » soulignait le préfet sur place - «Depuis septembre 2020, ce sont près de 578 véhicules qui ont été retirés de la voie publique par la fourrière et 198 véhicules qui ont été détruits, des véhicules qui n’avaient pas pu êtres identifiés. Cela fait une moyenne de 72 véhicules enlevés par mois et 25 détruits par mois. C’est environ 30 % de plus que sur la même période 1 an avant. L’opération d’enlèvement de ce mardi illustre les résultats de ce travail puisque ce sont 10 véhicules que nous enlevons aujourd’hui sur ce secteur, et 50 en tout entre cette semaine et la prochaine».
Pour les véhicules identifiés, il y a eu une procédure qui passe par la fourrière, une recherche du propriétaire et à terme, soit les propriétaires viennent récupérer leur véhicule, soit les véhicules sont détruits.
Petits bémols, si les riverains se déclarent plutôt satisfaits de cette politique, ils déplorent que ces épaves soient remplacées par d’autres quelque temps après. «C’est pour cela que nous n’allons pas baisser les bras et continuer » indique le préfet. 2ème bémol, ce rythme permet certes de retirer beaucoup de véhicules mais les capacités de la fourrière ne permettent pas de faire réduire significativement les stocks encore entreposés. «Des discussions sont en cours pour augmenter les capacités actuelles de la fourrière pour passer d’environ 130 places aujourd’hui à au moins 200, ce qui permettra des opérations d’ampleur, sur une base régulière » précise encore François Ravier.
Le préfet qui souligne encore qu’en concertation avec l’OPH et les bailleurs, à cette opération d’enlèvement des épaves, s’ajoutera celle d’ôter les tags et autres signes de dégradations de l’environnement. «Ces deux actions conjuguées permettront d’améliorer le bien-être du quartier» conclut le préfet.
«Le plan mis en place il y a 9 mois, pour une durée de 12 mois, consistait dans un premier temps, à recenser les véhicules, puis dans un deuxième temps, à procéder aux opérations d'enlèvement pour mettre à la casse les véhicules non identifiables et hors d'usage et placer en fourrière les véhicules-ventouses » soulignait le préfet sur place - «Depuis septembre 2020, ce sont près de 578 véhicules qui ont été retirés de la voie publique par la fourrière et 198 véhicules qui ont été détruits, des véhicules qui n’avaient pas pu êtres identifiés. Cela fait une moyenne de 72 véhicules enlevés par mois et 25 détruits par mois. C’est environ 30 % de plus que sur la même période 1 an avant. L’opération d’enlèvement de ce mardi illustre les résultats de ce travail puisque ce sont 10 véhicules que nous enlevons aujourd’hui sur ce secteur, et 50 en tout entre cette semaine et la prochaine».
Pour les véhicules identifiés, il y a eu une procédure qui passe par la fourrière, une recherche du propriétaire et à terme, soit les propriétaires viennent récupérer leur véhicule, soit les véhicules sont détruits.
Petits bémols, si les riverains se déclarent plutôt satisfaits de cette politique, ils déplorent que ces épaves soient remplacées par d’autres quelque temps après. «C’est pour cela que nous n’allons pas baisser les bras et continuer » indique le préfet. 2ème bémol, ce rythme permet certes de retirer beaucoup de véhicules mais les capacités de la fourrière ne permettent pas de faire réduire significativement les stocks encore entreposés. «Des discussions sont en cours pour augmenter les capacités actuelles de la fourrière pour passer d’environ 130 places aujourd’hui à au moins 200, ce qui permettra des opérations d’ampleur, sur une base régulière » précise encore François Ravier.
Le préfet qui souligne encore qu’en concertation avec l’OPH et les bailleurs, à cette opération d’enlèvement des épaves, s’ajoutera celle d’ôter les tags et autres signes de dégradations de l’environnement. «Ces deux actions conjuguées permettront d’améliorer le bien-être du quartier» conclut le préfet.