Paroles de femmes
Préfète de Corse
« J’ai souhaité participer à ce rassemblement en tant que représentante de l’État mais aussi en tant que femme. En tant que Préfète, je pense que j’ai une responsabilité à soutenir le droit des femmes, le combat vers l’égalité homme-femme, et aujourd’hui l'a lutte contre les violences faites aux femmes. Ce matin dans tous les collèges et lycées de Corse, un texte a été lu sur le respect. Respect, c’est un « petit mot » mais qui me tient beaucoup à cœur, et que j’ai repris dans la campagne anti-violence du CIAS d’Ajaccio. Il est de la volonté du gouvernement d’aller beaucoup plus loin dans cette lutte. Ce n’est pas facile. Il ne faut pas s’arrêter à une journée mais travailler sur chaque territoire au quotidien. En Corse, je souhaite un travail de fond, pour le repérage des victimes, mais également dans l’accompagnement et dans la formation des différents acteurs, ceux qui reçoivent les plaintes, de l’éducation nationale, du personnel soignant, etc. C’est un des combats de société qui est une priorité du quinquennat du Président de la République ».
Présidente du CIDFF
« Aujourd’hui, nous sommes là pour se rassembler autour d’un combat pour penser aux victimes, aux 138 femmes qui sont décédées sous les coups, victimes de la violence. Nous pensons aussi aux autres femmes qui sont victimes au quotidien qui poussent la porte des commissariats au quotidien et celles qui n’osent pas. Les choses ne changeront pas facilement, cela doit venir d’abord de la société. Il est nécessaire qu’on puisse aujourd’hui, pousser la porte d’une gendarmerie ou d’un commissariat et être entendu ».
Représentante du collectif Donne e Surelle :
« Cette marche s’inscrit dans une action qui correspond à notre collectif Donne e Surelle. Il faut aller au-delà d’une simple journée. Nous avons travaillé avec le CIDFF sur une affiche diffusée dans les écoles afin de prévenir des relations toxiques. Nous avons aussi créé une tribune, nous organiserons prochainement une réunion avec nos membres pour élaborer d’autres actions dont une le 6 mars prochain au Palatinu. Les fonds seront reversés en intégralité aux associations adhérentes et qui œuvrent pour les corses. Il s’agit de réunir et fédérer toutes femmes et hommes aussi qui soutiennent l’égalité en Corse, de créer un réseau soudée et durable ».
Préfète de Corse
« J’ai souhaité participer à ce rassemblement en tant que représentante de l’État mais aussi en tant que femme. En tant que Préfète, je pense que j’ai une responsabilité à soutenir le droit des femmes, le combat vers l’égalité homme-femme, et aujourd’hui l'a lutte contre les violences faites aux femmes. Ce matin dans tous les collèges et lycées de Corse, un texte a été lu sur le respect. Respect, c’est un « petit mot » mais qui me tient beaucoup à cœur, et que j’ai repris dans la campagne anti-violence du CIAS d’Ajaccio. Il est de la volonté du gouvernement d’aller beaucoup plus loin dans cette lutte. Ce n’est pas facile. Il ne faut pas s’arrêter à une journée mais travailler sur chaque territoire au quotidien. En Corse, je souhaite un travail de fond, pour le repérage des victimes, mais également dans l’accompagnement et dans la formation des différents acteurs, ceux qui reçoivent les plaintes, de l’éducation nationale, du personnel soignant, etc. C’est un des combats de société qui est une priorité du quinquennat du Président de la République ».
Présidente du CIDFF
« Aujourd’hui, nous sommes là pour se rassembler autour d’un combat pour penser aux victimes, aux 138 femmes qui sont décédées sous les coups, victimes de la violence. Nous pensons aussi aux autres femmes qui sont victimes au quotidien qui poussent la porte des commissariats au quotidien et celles qui n’osent pas. Les choses ne changeront pas facilement, cela doit venir d’abord de la société. Il est nécessaire qu’on puisse aujourd’hui, pousser la porte d’une gendarmerie ou d’un commissariat et être entendu ».
Représentante du collectif Donne e Surelle :
« Cette marche s’inscrit dans une action qui correspond à notre collectif Donne e Surelle. Il faut aller au-delà d’une simple journée. Nous avons travaillé avec le CIDFF sur une affiche diffusée dans les écoles afin de prévenir des relations toxiques. Nous avons aussi créé une tribune, nous organiserons prochainement une réunion avec nos membres pour élaborer d’autres actions dont une le 6 mars prochain au Palatinu. Les fonds seront reversés en intégralité aux associations adhérentes et qui œuvrent pour les corses. Il s’agit de réunir et fédérer toutes femmes et hommes aussi qui soutiennent l’égalité en Corse, de créer un réseau soudée et durable ».