Les idées reçues sur la jeunesse en général n’avaient leurs places ce mardi au sein de la Kedge Business School de Borgo où les participants venus de presque toutes les structures d’apprentissage de l’île étaient présents. L’implication était totale.
Les 200 participants présentaient leurs produits avec sérieux et assurance. Les éléments qui revenaient le plus étaient l’écologie à travers des produits non-polluants et pour certains biodégradables ainsi que le Made in Corsica. Tous les participants tenaient à ces deux règles dans le respect des ressources ainsi que l’intérêt de faire marcher les affaires internes de l’île si cela est possible. Ainsi qu’une coopération des élèves afin de mettre en valeur les savoir-faire des apprentis (comme le CFA) de l’île. Il y avait également du design, du numérique, de l’alimentaires, de l’éducatif, du pratique quel que soit la situation.
Chaque équipe présente était une entreprise structurée. Des postes tels que P-dg, Ressources humaines, directeur marketing, communication ou financier étaient bien pris au sérieux. Un organigramme précis et respecté.
Pour les méthodes de financement, cela variait selon l’entreprise : vente de gâteaux, emprunts, vente d’actions, financement participatif, les mêmes méthodes qu’une entreprise “classique”.
L’intérêt est de mettre les jeunes dans une situation d'entrepreunariat, qu’ils puissent vivre les réussites comme les échecs afin de se faire une vraie expérience. Un accompagnement dans la pratique qui sera observé de près par un jury composé de chefs d’entreprise et de représentants de l’Education Nationale.
Les lauréats de l’édition précédente, Carla Campinchi et Francesca Paolantonacci, toutes deux lycéennes, sont même venues encourager les participants sur la question de l’après-concours. Les participants, tous issus de l’Éducation Nationale ont démontré une insatisfaction générale des enseignements. “L’école ne nous apprend pas la vie actuelle, elle nous en éloigne” souligne Francesca. Qui malgré cela, depuis le championnat, a retrouvé un véritable intérêt à travailler. “Je n’avais confiance en personne et encore moins en moi, mais cela c’était avant le concours”, c’est ce que Carla a déclaré durant la conférence avec les participants de cette année.
À travers l’initiative de Serge Santunione, le président de EPA, c’est de révéler à la jeunesse, par le biais de l'apprentissage et de la mise en situation, son ambition, ses envies et son intérêt d’entreprendre. “Le but n’est pas d’en faire que des entrepreneurs mais des entreprenants. Pour l’île et surtout pour eux-même.”
Les lauréats des différentes catégories disputeront le titre national à Lille du 3 au 5 juillet prochains.
Les 200 participants présentaient leurs produits avec sérieux et assurance. Les éléments qui revenaient le plus étaient l’écologie à travers des produits non-polluants et pour certains biodégradables ainsi que le Made in Corsica. Tous les participants tenaient à ces deux règles dans le respect des ressources ainsi que l’intérêt de faire marcher les affaires internes de l’île si cela est possible. Ainsi qu’une coopération des élèves afin de mettre en valeur les savoir-faire des apprentis (comme le CFA) de l’île. Il y avait également du design, du numérique, de l’alimentaires, de l’éducatif, du pratique quel que soit la situation.
Chaque équipe présente était une entreprise structurée. Des postes tels que P-dg, Ressources humaines, directeur marketing, communication ou financier étaient bien pris au sérieux. Un organigramme précis et respecté.
Pour les méthodes de financement, cela variait selon l’entreprise : vente de gâteaux, emprunts, vente d’actions, financement participatif, les mêmes méthodes qu’une entreprise “classique”.
L’intérêt est de mettre les jeunes dans une situation d'entrepreunariat, qu’ils puissent vivre les réussites comme les échecs afin de se faire une vraie expérience. Un accompagnement dans la pratique qui sera observé de près par un jury composé de chefs d’entreprise et de représentants de l’Education Nationale.
Les lauréats de l’édition précédente, Carla Campinchi et Francesca Paolantonacci, toutes deux lycéennes, sont même venues encourager les participants sur la question de l’après-concours. Les participants, tous issus de l’Éducation Nationale ont démontré une insatisfaction générale des enseignements. “L’école ne nous apprend pas la vie actuelle, elle nous en éloigne” souligne Francesca. Qui malgré cela, depuis le championnat, a retrouvé un véritable intérêt à travailler. “Je n’avais confiance en personne et encore moins en moi, mais cela c’était avant le concours”, c’est ce que Carla a déclaré durant la conférence avec les participants de cette année.
À travers l’initiative de Serge Santunione, le président de EPA, c’est de révéler à la jeunesse, par le biais de l'apprentissage et de la mise en situation, son ambition, ses envies et son intérêt d’entreprendre. “Le but n’est pas d’en faire que des entrepreneurs mais des entreprenants. Pour l’île et surtout pour eux-même.”
Les lauréats des différentes catégories disputeront le titre national à Lille du 3 au 5 juillet prochains.
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