Le projet de réhabilitation de 2010
Le projet de 2010 prévoit la réhabilitation, aussi bien de la partie musée que du site extérieur, avec notamment l’aménagement du Fort d’Aléria. L’objectif est d’offrir une meilleure compréhension du site pour les visiteurs et d’optimiser le parcours de la ville antique avec 30 étapes structurées, des aménagements paysagers, des supports mobiles explicatifs, tels que des audio-guides, et la liaison du forum avec la zone archaïque à ouvrir au public...
En avril 2012, le nouvel Exécutif de la CTC réaffirme son adhésion à la poursuite de ce projet, expliquant que le comité de pilotage est opérationnel et que la billetterie commune, le parking et d’autres aménagements sont en cours de concrétisation, ou du moins le seront courant 2012. La plupart ne le sont toujours pas aujourd’hui.
La réponse de Paul Giacobbi
Rappelant que toutes les opérations menées sur ce site classé au titre des Monuments Historiques nécessitent des autorisations préalables des services de l’Etat, le président de l’Exécutif, Paul Giacobbi, rétorque que des améliorations ont déjà été apportées au niveau de l’entretien.
« Le site entre dans sa troisième année de remise à niveau paysagère. Depuis 2010, plus de 400 m3 de déblais de fouilles et 150 m2 de toitures en tôle ont été évacués de la partie visitable. Nous avons procédé, dès 2011, au rebouchage de 40 fosses de sondage laissées béantes et à la consolidation de nombreux murs nécessitant 600 m3 de sédiments dépurés. Une recherche en archéologie du bâti, menée depuis 2011, permettra une meilleure compréhension du site et sera complétée, en 2013 et 2014, par deux missions scientifiques portant sur la détection des limites de la ville antique, les voies de communication et la visualisation des vestiges non encore exhumés. Cette démarche sera poursuivie, cette année, avec le lancement du marché de maîtrise d’œuvre pour la réalisation en 2014 des travaux d’aménagement et du parking. A terme, le rez-de-chaussée de la maison Rossi, deviendra l’accueil commun musée/site et permettra une meilleure compréhension de l’ensemble proposé à la visite ».
N.M.
Le projet de 2010 prévoit la réhabilitation, aussi bien de la partie musée que du site extérieur, avec notamment l’aménagement du Fort d’Aléria. L’objectif est d’offrir une meilleure compréhension du site pour les visiteurs et d’optimiser le parcours de la ville antique avec 30 étapes structurées, des aménagements paysagers, des supports mobiles explicatifs, tels que des audio-guides, et la liaison du forum avec la zone archaïque à ouvrir au public...
En avril 2012, le nouvel Exécutif de la CTC réaffirme son adhésion à la poursuite de ce projet, expliquant que le comité de pilotage est opérationnel et que la billetterie commune, le parking et d’autres aménagements sont en cours de concrétisation, ou du moins le seront courant 2012. La plupart ne le sont toujours pas aujourd’hui.
La réponse de Paul Giacobbi
Rappelant que toutes les opérations menées sur ce site classé au titre des Monuments Historiques nécessitent des autorisations préalables des services de l’Etat, le président de l’Exécutif, Paul Giacobbi, rétorque que des améliorations ont déjà été apportées au niveau de l’entretien.
« Le site entre dans sa troisième année de remise à niveau paysagère. Depuis 2010, plus de 400 m3 de déblais de fouilles et 150 m2 de toitures en tôle ont été évacués de la partie visitable. Nous avons procédé, dès 2011, au rebouchage de 40 fosses de sondage laissées béantes et à la consolidation de nombreux murs nécessitant 600 m3 de sédiments dépurés. Une recherche en archéologie du bâti, menée depuis 2011, permettra une meilleure compréhension du site et sera complétée, en 2013 et 2014, par deux missions scientifiques portant sur la détection des limites de la ville antique, les voies de communication et la visualisation des vestiges non encore exhumés. Cette démarche sera poursuivie, cette année, avec le lancement du marché de maîtrise d’œuvre pour la réalisation en 2014 des travaux d’aménagement et du parking. A terme, le rez-de-chaussée de la maison Rossi, deviendra l’accueil commun musée/site et permettra une meilleure compréhension de l’ensemble proposé à la visite ».
N.M.