Édith Guidoni, graphiste et directrice artistique de l’agence conseil en communication Agep qu’elle a créée avec sa sœur en 1988, se consacre depuis 2007 entièrement à la peinture, art qu’elle pratique depuis l’âge de 8 ans. «La peinture, c’est de famille. Ma mère, mon oncle... » explique t-elle. «A 8 ans j’ai effectué une reproduction horrible d’un tableau de Picasso » rit-elle. «Par la suite j’ai peaufiné ma technique, m’essayant aussi au fusain. Adolescente, en pleine rébellion, j’ai peint l’humain, la détresse, la violence. Au début mes tableaux étaient tristes. J’ai évolué depuis, en technique aussi en essayant une peinture mixte, acrylique et huile et c’est intéressant».
Aujourd’hui, dans le cadre d’Histoire(s) en Mai, festival du livre d'histoire et de fiction historique, elle expose une série de grands formats sur les fruits. «J’ai créé ces œuvres durant le confinement. J’avais envie de couleurs, de gaité, d’évasion. J’ai tout jeté sur la toile. Il y a de la sensualité, de la volupté qui manquaient en cette période. Durant ce confinement j’ai aussi découvert des écrits sur les fruits de St John Perse ou Valery. J’ai choisi le grand format car la force de l’œuvre s’en dégage d avantage. Je peins toujours en gros plan, je m’exprime mieux »
Des projets, Edith Guidoni en a au moins un : «Une expo en duo avec Laurent Bruschini mais je n’en dirai pas plus ! »
Aujourd’hui, dans le cadre d’Histoire(s) en Mai, festival du livre d'histoire et de fiction historique, elle expose une série de grands formats sur les fruits. «J’ai créé ces œuvres durant le confinement. J’avais envie de couleurs, de gaité, d’évasion. J’ai tout jeté sur la toile. Il y a de la sensualité, de la volupté qui manquaient en cette période. Durant ce confinement j’ai aussi découvert des écrits sur les fruits de St John Perse ou Valery. J’ai choisi le grand format car la force de l’œuvre s’en dégage d avantage. Je peins toujours en gros plan, je m’exprime mieux »
Des projets, Edith Guidoni en a au moins un : «Une expo en duo avec Laurent Bruschini mais je n’en dirai pas plus ! »