Ce lundi 15 mars, le variant breton faisait son apparition à l'hôpital de Lannion dans les Côtes-d’Armor. Huit personnes ont révélé être positives à cette nouvelle mutation de la Covid-19. Toutefois, ce qui a rapidement inquiété les autorités de santé, c'est que 7 patient sur 8 n'étaient pas détectés positifs sur les tests PCR traditionnels.
Alors qu'ils présentaient tous les symptômes de la Covid-19, de nouveaux tests, sérologiques ainsi que d'autres avec des « prélèvements respiratoires plus profonds », ont permis d’identifier la présence de ce nouveau variant.
Trois jours plus tard, ce mercredi 17 mars, on apprenait que les 8 personnes contaminées dans ce cluster hospitalier étaient décédées.
Alors faut-il s'inquiéter ? Mylène Ogliastro, virologue et chercheuse à l'Inrae de Montpellier est prudente : "On ne connait absolument pas son niveau de prévalence dans la population bretonne et ailleurs sur le territoire. Pour l’instant, il n'y a pas de données qui disent que ce variant serait plus virulent ou plus pathogène que le variant anglais. »
Comme les autres variants, on peut imaginer que celui-ci traversera la Méditerranée.
Alors qu'ils présentaient tous les symptômes de la Covid-19, de nouveaux tests, sérologiques ainsi que d'autres avec des « prélèvements respiratoires plus profonds », ont permis d’identifier la présence de ce nouveau variant.
Trois jours plus tard, ce mercredi 17 mars, on apprenait que les 8 personnes contaminées dans ce cluster hospitalier étaient décédées.
Alors faut-il s'inquiéter ? Mylène Ogliastro, virologue et chercheuse à l'Inrae de Montpellier est prudente : "On ne connait absolument pas son niveau de prévalence dans la population bretonne et ailleurs sur le territoire. Pour l’instant, il n'y a pas de données qui disent que ce variant serait plus virulent ou plus pathogène que le variant anglais. »
Comme les autres variants, on peut imaginer que celui-ci traversera la Méditerranée.