Photos Eyefinity Prod/Kevin Guizol
Ils étaient un peu moins d'une cinquantaine ce samedi 30 janvier après-midi à se rassembler devant la sous-préfecture de Calvi pour dénoncer les mesures prises en cette période de crise sanitaire interdisant toute manifestation culturelle. Parmi les manifestants il y avait également lquelques cafetiers et restaurateurs manifestant leur désaccord sur la fermeture de leurs établissements.
Cette manifestation qui devait se tenir samedi dernier avait été reportée en raison de mauvaises conditions météorologiques et des nouvelles mesures sanitaires.
Les services de gendarmerie aux ordres du Capitaine Marchandeau, adjoint au commandant de Gendarmerie Calvi-Balagne encadraient ce rassemblement pacifiste.
C'est à pied, en remontant le boulevard Wilson que les acteurs de la manifestation se rendaient place Marchal pour une animation musicale appréciée des nombreux badauds solidaires de leurs revendications.
Les organisateurs voulaient faire de ce rendez-vous un moment de partage citoyen, respectueux des bons gestes, autour d'un bon vin chaud, tout en dénonçant les mesures qui font aujourd'hui que la culture devienne une victime collatérale du coronavirus.
Ils entendaient ainsi protester contre la fermeture des lieux de spectacle et de culture.
Pas question pour eux de discuter de l'efficacité ou non du port du masque, du confinement, du couvre-feu, du vaccin et autres mais tout simplement pour faire comprendre qu'il est absurde et inutile de fermer les salles de cinéma, de spectacle, centres sportifs, musées, dans nos villages, ainsi que les restaurants et les bars. Au chapitre des revendications, les manifestants demandent à ce que "les autorités, maires, présidents de région, évaluent l'importance des risques en fonction du nombre d'habitants et des lieux. Et laissant la vie et le lien social perdurer dans les communes et villages de moindre importance"
Cette manifestation qui devait se tenir samedi dernier avait été reportée en raison de mauvaises conditions météorologiques et des nouvelles mesures sanitaires.
Les services de gendarmerie aux ordres du Capitaine Marchandeau, adjoint au commandant de Gendarmerie Calvi-Balagne encadraient ce rassemblement pacifiste.
C'est à pied, en remontant le boulevard Wilson que les acteurs de la manifestation se rendaient place Marchal pour une animation musicale appréciée des nombreux badauds solidaires de leurs revendications.
Les organisateurs voulaient faire de ce rendez-vous un moment de partage citoyen, respectueux des bons gestes, autour d'un bon vin chaud, tout en dénonçant les mesures qui font aujourd'hui que la culture devienne une victime collatérale du coronavirus.
Ils entendaient ainsi protester contre la fermeture des lieux de spectacle et de culture.
Pas question pour eux de discuter de l'efficacité ou non du port du masque, du confinement, du couvre-feu, du vaccin et autres mais tout simplement pour faire comprendre qu'il est absurde et inutile de fermer les salles de cinéma, de spectacle, centres sportifs, musées, dans nos villages, ainsi que les restaurants et les bars. Au chapitre des revendications, les manifestants demandent à ce que "les autorités, maires, présidents de région, évaluent l'importance des risques en fonction du nombre d'habitants et des lieux. Et laissant la vie et le lien social perdurer dans les communes et villages de moindre importance"