- Le sprint final est lancé : dans quelles dispositions physiques est l'effectif ?
- On récupère tout le monde. Il ne manquera plus que Yannick Cahuzac qui devrait disponible à partir du match contre Brest. Il n'est pas dit qu'il rejouera dans l'immédiat, mais normalement, mais il pourra revenir. Cela veut dire que l'on pourra disposer de la totalité de l'effectif pour la suite de la compétition.
- Khazri ?
- Il va reprendre mercredi. Il a pris un coup au genou, mais il n'y a rien de grave.
- Comment avez-vous géré cette trêve ?
- On a fait un certain nombre de choses que l'on n'a pas le temps de faire lors d'une semaine classique. On fait du travail de moyenne intensité pour récupérer des efforts passés et pour préparer le sprint final.
- L'état physique des joueurs ?
- En Janvier et Février nous étions vraiment dans le dur avec la multiplication des déplacements. Aujourd'hui nous sommes sur un rythme plus régulier. Cela devrait nous permettre d'être plus sereins, sur le plan athlétique du moins. Je sens que ça va bien revenir notamment parce que l'on pourra disposer d'un groupe au complet sans avoir besoin de "tirer" sur 12 ou 13 joueurs. Lorsque vous avez 16, 18, 20 joueurs de champ sur le terrain, ça change tout. On peut gérer. Ce qui a été rarement le cas jusqu'à maintenant.
- Le Sporting n'est jamais vraiment à l'aise après une trêve : comment expliquer cela ?
- Il faut trouver le bon compromis entre le fait de laisser les joueurs se reposer, faire en sorte qu'ils continuent à travailler sans se fatiguer et puis avoir l'énergie suffisante pour être bien dès le premier match. On peut effectivement avoir des lacunes notamment physiques sur le premier match. Mais quand l'on sort d'une victoire comme celle acquise face à Lyon il est difficile de "réinvestir" les joueurs dans un travail intense. C'est plus facile mais pas forcément mieux après une défaite, mais c'est vrai que ce cas de figure implique une gestion particulière.
- On récupère tout le monde. Il ne manquera plus que Yannick Cahuzac qui devrait disponible à partir du match contre Brest. Il n'est pas dit qu'il rejouera dans l'immédiat, mais normalement, mais il pourra revenir. Cela veut dire que l'on pourra disposer de la totalité de l'effectif pour la suite de la compétition.
- Khazri ?
- Il va reprendre mercredi. Il a pris un coup au genou, mais il n'y a rien de grave.
- Comment avez-vous géré cette trêve ?
- On a fait un certain nombre de choses que l'on n'a pas le temps de faire lors d'une semaine classique. On fait du travail de moyenne intensité pour récupérer des efforts passés et pour préparer le sprint final.
- L'état physique des joueurs ?
- En Janvier et Février nous étions vraiment dans le dur avec la multiplication des déplacements. Aujourd'hui nous sommes sur un rythme plus régulier. Cela devrait nous permettre d'être plus sereins, sur le plan athlétique du moins. Je sens que ça va bien revenir notamment parce que l'on pourra disposer d'un groupe au complet sans avoir besoin de "tirer" sur 12 ou 13 joueurs. Lorsque vous avez 16, 18, 20 joueurs de champ sur le terrain, ça change tout. On peut gérer. Ce qui a été rarement le cas jusqu'à maintenant.
- Le Sporting n'est jamais vraiment à l'aise après une trêve : comment expliquer cela ?
- Il faut trouver le bon compromis entre le fait de laisser les joueurs se reposer, faire en sorte qu'ils continuent à travailler sans se fatiguer et puis avoir l'énergie suffisante pour être bien dès le premier match. On peut effectivement avoir des lacunes notamment physiques sur le premier match. Mais quand l'on sort d'une victoire comme celle acquise face à Lyon il est difficile de "réinvestir" les joueurs dans un travail intense. C'est plus facile mais pas forcément mieux après une défaite, mais c'est vrai que ce cas de figure implique une gestion particulière.
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