La remise officielle de la maquette de la tour à la municipalité de Santa Maria était la dernière étape de l'action du projet intitulé "Le patrimoine de proximité" qui, proposé par l'office de l'Environnement de la Corse, en collaboration avec l'Education nationale à travers l'inspection d'académie du département, est mené depuis 14 ans par le Conseil d'architecture d'urbanisme et de l'Environnement de la Haute-Corse.
Vendredi matin, donc Denis Rouget, qui a du prendre le relais de ses jeunes élèves, soudain muets devant la solennité des lieux, a expliqué à Guy Armanet, le maire de la commune, et à ses adjoints, pourquoi avec trois classes, après avoir travaillé sur Vescovato et sur l'usine à tanin de Penta, qui est en cours de réhabilitation, ils avaient fait le choix de travailler sur la tour de Miomo.
" La Tour génoise, c'est l'emblème de la Corse. La vôtre est belle et accessible. Nous l'avons visitée à plusieurs reprises depuis un an. Les enfants se sont documentés.Ont pris des mesures et travaillé à son élaboration avec Nicolas Frémont du CAUE. Ils ont utilisé du polystyrène et du bois. Ils savent aujourd'hui pourquoi elle a été construite à cet endroit et à quoi elle servait."
Au terme de leur travail, ils sont allés exposer la tour de Miomo au Musée de Corte en compagnie d'une dizaine d'autres classes du département. Pour, c'est l'un des buts de l'action, un partage d'expériences enrichissant et valorisant, les élèves devenant des artistes en herbe exposant en même temps que d'autres artistes au musée.
Guy Armanet n'a pas manqué, bien sûr, ni de féliciter ni de récompenser les élèves de l'école primaire de Folelli pour la qualité du travail effectué qui devance un peu celui qu'entreprendra la CTC, à terme, sur la tour.
"L'idée d'une réfection germe à Santa Maria di Lota depuis quelque temps déjà. Elle est aujourd'hui en route. Lorsque elle sera remise en état vous serez invité à la revoir, tous, telle qu'elle était à l'origine."
Michèle Pasqualini, conseillère pédagogique départementale à l'inspection d'académie de la Haute-Corse, Jean-Luc Simonetti-Malaspina, directeur du CAUE, Nicolas Frémont, du CAUE et Joseph Salvini, chef de département à l'office de l'Environnement de la Corse, qui financent, à travers leurs organismes respectifs, et portent le projet d'une dizaine de classes tous les ans, ont unanimement salué, eux aussi, ce travail remarquable à bien des égards, quand bien même s'agirait-il d'une œuvre d'enfants.
Vendredi matin, donc Denis Rouget, qui a du prendre le relais de ses jeunes élèves, soudain muets devant la solennité des lieux, a expliqué à Guy Armanet, le maire de la commune, et à ses adjoints, pourquoi avec trois classes, après avoir travaillé sur Vescovato et sur l'usine à tanin de Penta, qui est en cours de réhabilitation, ils avaient fait le choix de travailler sur la tour de Miomo.
" La Tour génoise, c'est l'emblème de la Corse. La vôtre est belle et accessible. Nous l'avons visitée à plusieurs reprises depuis un an. Les enfants se sont documentés.Ont pris des mesures et travaillé à son élaboration avec Nicolas Frémont du CAUE. Ils ont utilisé du polystyrène et du bois. Ils savent aujourd'hui pourquoi elle a été construite à cet endroit et à quoi elle servait."
Au terme de leur travail, ils sont allés exposer la tour de Miomo au Musée de Corte en compagnie d'une dizaine d'autres classes du département. Pour, c'est l'un des buts de l'action, un partage d'expériences enrichissant et valorisant, les élèves devenant des artistes en herbe exposant en même temps que d'autres artistes au musée.
Guy Armanet n'a pas manqué, bien sûr, ni de féliciter ni de récompenser les élèves de l'école primaire de Folelli pour la qualité du travail effectué qui devance un peu celui qu'entreprendra la CTC, à terme, sur la tour.
"L'idée d'une réfection germe à Santa Maria di Lota depuis quelque temps déjà. Elle est aujourd'hui en route. Lorsque elle sera remise en état vous serez invité à la revoir, tous, telle qu'elle était à l'origine."
Michèle Pasqualini, conseillère pédagogique départementale à l'inspection d'académie de la Haute-Corse, Jean-Luc Simonetti-Malaspina, directeur du CAUE, Nicolas Frémont, du CAUE et Joseph Salvini, chef de département à l'office de l'Environnement de la Corse, qui financent, à travers leurs organismes respectifs, et portent le projet d'une dizaine de classes tous les ans, ont unanimement salué, eux aussi, ce travail remarquable à bien des égards, quand bien même s'agirait-il d'une œuvre d'enfants.