Photos Eyefinity Prod / Kevin Guizil
"Discrimination de nos commerces, on agonise". Tout est dit sur cette simple banderole brandie ce jeudi après-midi à la tête d'un cortège composé d'une quarantaines de commerçants, soutenus par des élus politiques de tous bords.
Les manifestants entendaient partager cette angoisse avec la population calvaise, le dire combien cette situation devenait dramatique pour eux.
A chaque journée qui passe c'est le ciel qui s'assombrit sans pour autant entrevoir une petite lueur d'espoir.
Nombreux sont ceux à craindre le pire pour leurs affaires, nombreux sont ceux à s'inquiéter de leur avenir,.
" A travers ce rassemblement nous avons voulu manifester notre profond sentiment d'injustice face à cette situation. On a du mal à comprendre ce qui est essentiel et ce qui ne l'est pas. Aujourd'hui, ce que nous savons c'est que nos commerces sont fermés et que d'autres ne le sont pas; Cela fait un an que ça dure et on ne peut continuer de la sorte. Pour ma part j'ai une boutique saisonnière qui fait son chiffre entre Avril et Septembre. Ce que je sais aujourd'hui c'est que je ne peux toujours pas ouvrir et que plus les jours passent et plus la situation devient dramatique. Nous sommes une petite minorité de commerçants à être fermés pendant un confinement , ce qui est assez incohérent. Pendant ce temps, d'autres commerces, contre qui je n'ai absolument rien, bien au contraire, peuvent eux exercer.
Nous ne sommes pas dans une grande ville comme Paris mais on nous traite de la même manière commente avec amertume Sandra Orticoni de la boutique "Extravagances" située rue Clemenceau.
Un sentiment partagé par l'ensemble des commerçants qui demande à ce que le Gouvernement autorise l'autorité préfectorale à décider au cas par cas. C'est ce que la délégation de commerçantes avec à sa tête Sandra Orticoni ont expliqué à Florent Farge , sous-préfet de Calvi, qui a accepté de les recevoir.
Le représentant de l' État a pris note des doléances et a assuré à ses interlocutrices de les faire remonter à l'autorité de tutelle.
Les manifestants entendaient partager cette angoisse avec la population calvaise, le dire combien cette situation devenait dramatique pour eux.
A chaque journée qui passe c'est le ciel qui s'assombrit sans pour autant entrevoir une petite lueur d'espoir.
Nombreux sont ceux à craindre le pire pour leurs affaires, nombreux sont ceux à s'inquiéter de leur avenir,.
" A travers ce rassemblement nous avons voulu manifester notre profond sentiment d'injustice face à cette situation. On a du mal à comprendre ce qui est essentiel et ce qui ne l'est pas. Aujourd'hui, ce que nous savons c'est que nos commerces sont fermés et que d'autres ne le sont pas; Cela fait un an que ça dure et on ne peut continuer de la sorte. Pour ma part j'ai une boutique saisonnière qui fait son chiffre entre Avril et Septembre. Ce que je sais aujourd'hui c'est que je ne peux toujours pas ouvrir et que plus les jours passent et plus la situation devient dramatique. Nous sommes une petite minorité de commerçants à être fermés pendant un confinement , ce qui est assez incohérent. Pendant ce temps, d'autres commerces, contre qui je n'ai absolument rien, bien au contraire, peuvent eux exercer.
Nous ne sommes pas dans une grande ville comme Paris mais on nous traite de la même manière commente avec amertume Sandra Orticoni de la boutique "Extravagances" située rue Clemenceau.
Un sentiment partagé par l'ensemble des commerçants qui demande à ce que le Gouvernement autorise l'autorité préfectorale à décider au cas par cas. C'est ce que la délégation de commerçantes avec à sa tête Sandra Orticoni ont expliqué à Florent Farge , sous-préfet de Calvi, qui a accepté de les recevoir.
Le représentant de l' État a pris note des doléances et a assuré à ses interlocutrices de les faire remonter à l'autorité de tutelle.
Sandra Orticoni