Paul-Félix Benedetti, chef de file de Core in Fronte, candidat aux élections municipales de mars 2020 à Bastia avec la liste Bastia in Core.
« Nous voulons lutter contre les injustices de la vie. Pour un habitant au quotidien, c’est chercher à se loger, à travailler, à se garer. C’est chercher du respect et chercher à retrouver l’espoir, un endroit de vie qui porte des valeurs et l’ambition de lendemains meilleurs ».
C’est en pleine rue neuve saint Roch et in lingua nustrale que Paul-Félix Benedetti a lancé sa campagne pour l’élection municipale bastiaise après une mise en bouche, toujours en corse, de l’acteur et chanteur insulaire, Henri Olmeta. Une démarche, toujours adossée au mouvement national, mais qu’il qualifie de « moins politique, de plus près des gens ».
Récession économique, injustices qui touchent les moins favorisés, détresse des commerçants, surtaxe des automobilistes, transparence dans les embauches, l’attribution des logements sociaux et des marchés publics…, le candidat indépendantiste va taper sur tous les fronts. Il tacle « le manque de vision » de six ans de gestion nationaliste qui est « fière d’avoir saigné à blanc les automobilistes bastiais ». Pour lui, un Nationaliste n’est pas là pour gérer la ville, mais pour la réveiller, lui redonner un rôle phare, la reconstruire spatialement et économiquement sur une logique d’équilibre et avec la participation de tous, notamment des communes environnantes qui « doivent payer à Bastia l’octroi d’être le centre administratif principal ». Il en profite, également pour apporter son soutien aux socios du SCB (à-venir) et s’interroger sur la pertinence de la construction d’un nouveau port.
C’est en pleine rue neuve saint Roch et in lingua nustrale que Paul-Félix Benedetti a lancé sa campagne pour l’élection municipale bastiaise après une mise en bouche, toujours en corse, de l’acteur et chanteur insulaire, Henri Olmeta. Une démarche, toujours adossée au mouvement national, mais qu’il qualifie de « moins politique, de plus près des gens ».
Récession économique, injustices qui touchent les moins favorisés, détresse des commerçants, surtaxe des automobilistes, transparence dans les embauches, l’attribution des logements sociaux et des marchés publics…, le candidat indépendantiste va taper sur tous les fronts. Il tacle « le manque de vision » de six ans de gestion nationaliste qui est « fière d’avoir saigné à blanc les automobilistes bastiais ». Pour lui, un Nationaliste n’est pas là pour gérer la ville, mais pour la réveiller, lui redonner un rôle phare, la reconstruire spatialement et économiquement sur une logique d’équilibre et avec la participation de tous, notamment des communes environnantes qui « doivent payer à Bastia l’octroi d’être le centre administratif principal ». Il en profite, également pour apporter son soutien aux socios du SCB (à-venir) et s’interroger sur la pertinence de la construction d’un nouveau port.