À ce jour, au niveau national, seuls deux vaccins ont reçu une autorisation de mise sur le marché délivrée par l’Agence européenne du médicament. « La stratégie vaccinale s’adapte à cette arrivée progressive sur le marché » explique la directrice de l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Corse Marie-Hélène Lecenne.
Pfizer-Biontech, le seul utilisé en Corse
Sur l’île, seul le vaccin Pfizer-Biontech est disponible. Au 14 janvier, ce sont 1 436 personnes qui en ont reçu la première dose. « Aucun effet indésirable n’a été signalé » commente l’ARS. 26 156 doses devraient être reçues pour la Corse d’ici le mois de février.
Le vaccin Moderna reste quant à lui « réservé aux régions prioritares, dans lesquelles l’épidémie est la plus active » indique Marie-Hélène Lecenne. Si ces deux vaccins protègent des formes graves, « en l’état des connaissances on ne sait pas encore s’ils empêchent la contagiosité » précise l’ARS, qui préconise donc le maintien des gestes barrières, même en cas de vaccination.
AstraZeneca, pour le mois de février ?
Selon le calendrier national, une deuxième phase de la campagne commencera en février avec le vaccin Astrazeneca, s’il obtient son autorisation de mise sur le marché. Ce vaccin, dont la conservation est moins contraignante que celle des deux autres, devrait permettre « un maillage plus fin du territoire » selon la directrice de l’ARS. Il pourrait notamment être déployé dans les cabinets médicaux insulaires, ce qui permettrait d'accélérer le rythme de la campagne insulaire.
Pfizer-Biontech, le seul utilisé en Corse
Sur l’île, seul le vaccin Pfizer-Biontech est disponible. Au 14 janvier, ce sont 1 436 personnes qui en ont reçu la première dose. « Aucun effet indésirable n’a été signalé » commente l’ARS. 26 156 doses devraient être reçues pour la Corse d’ici le mois de février.
Le vaccin Moderna reste quant à lui « réservé aux régions prioritares, dans lesquelles l’épidémie est la plus active » indique Marie-Hélène Lecenne. Si ces deux vaccins protègent des formes graves, « en l’état des connaissances on ne sait pas encore s’ils empêchent la contagiosité » précise l’ARS, qui préconise donc le maintien des gestes barrières, même en cas de vaccination.
AstraZeneca, pour le mois de février ?
Selon le calendrier national, une deuxième phase de la campagne commencera en février avec le vaccin Astrazeneca, s’il obtient son autorisation de mise sur le marché. Ce vaccin, dont la conservation est moins contraignante que celle des deux autres, devrait permettre « un maillage plus fin du territoire » selon la directrice de l’ARS. Il pourrait notamment être déployé dans les cabinets médicaux insulaires, ce qui permettrait d'accélérer le rythme de la campagne insulaire.