La liste "La Voie de l'avenir" conduite par Jean-Martin Mondoloni.
On est loin des territoriales de 2015 où il n’avait pas réussi à monter sa liste. Deux ans après, le leader de la « Nouvelle Corse » est, non seulement le premier des deux candidats de la famille libérale à en présenter une, mais aussi le plus couru et le plus en vogue des prétendants de l’opposition territoriale. Une belle revanche pour Jean-Martin Mondoloni qui a construit sa liste en appliquant trois principes : le renouvellement, la représentation des territoires et la réconciliation de la droite. « Je crois que le temps est venu aujourd’hui de rassembler, de montrer qu’une génération soutenue par ses ainés est capable de provoquer, sinon un électrochoc, au moins une prise de conscience de l’opinion. Le temps est venu de dépasser certaines rivalités et d’entrer dans la modernité. Je suis dans une configuration de dynamique de rassemblement pour essayer de créer une synergie qui va nous mener très haut dès le premier tour. Et enclencher l’hypothèse de la victoire au second », explique-t-il.
Des sortants
Sa liste reconduit, dans le peloton de tête, 5 conseillers territoriaux sortants dont l’ex-leader et ex-député porto-vecchiais Camille de Rocca-Serra (7è) - qui avait accueilli, en 2015, Jean-Martin Mondoloni sur sa liste -, le maire de Peri, Xavier Lacombe (3è), la mairesse de Taglio Isolaccio, Marie-Thérèse Mariotti (4è), et l’Ajaccienne Christelle Combette (6è). Elle récupère des élus départementaux : Chantal Pedinielli du Sartenais-Valinco à la 2ème place et les Ajacciens Marie Zuccarelli (22è) et Charles Voglimacci. Après avoir caressé, un moment, l’idée de partir en chef de file, le patron du SDIS 2A a longuement tergiversé entre les deux candidatures de droite, avant d’opérer un ralliement de dernière minute qui le positionne à la 13ème place. Autre récupéré sur le fil, le maire et conseiller départemental de Ghisonaccia, Francis Guidici, qui, après avoir fait le grand écart Giacobbiste et s’être essayé sans succès au macronisme, n’a pas réellement eu d’autre choix que de réintégrer sa famille politique d’origine : la droite. Malgré un échec sans appel aux législatives face aux Nationalistes, il n’en demeure pas moins, à la 9ème place, une recrue controversée, mais d’un poids électoral certain.
Des soutiens attendus
Dans le peloton de tête également, l’adjoint au maire de Calvi, Jean-Louis Delpoux, occupe la 5ème place. Si l’on attendait un autre Calvais, cette pôle position n’est pas une surprise, tout comme la présence de Dominique Andreani, maire de Cateri (15è). L’édile balanin a été le suppléant de Jean-Martin Mondoloni lors des élections législatives de juin dernier. Il fut, avec le maire de Calvi, Ange Santini, parmi ses premiers soutiens, lorsque ceux-ci étaient plutôt rares. La présence de Jean-Stéphane Allegrini-Simonetti (19è), fils du maire d’Ile Rousse, confirme l’assise balanine. Tout aussi attendu le soutien de Michel Rossi, maire de Ville-di-Pietrabugnu. Son conseiller municipal, Emmanuel Petri-Guasco, décroche la 11ème place, suivi par Paule Casanova-Nicolai, maire de Guargualè. A noter également la présence de Vincent Bruschini (23è), adjoint au maire de Lucciana, et de Patrick Sanguinetti (27è), adjoint au maire de Brando, ou encore Antoine Peretti (37è), maire de Pila-Canale, et Jean-Charles Castellani (49è), adjoint au maire de Canale di Verde. Plus inattendu, mais déjà connu, le soutien du maire de Propriano, Paul-Marie Bartoli, présent à Corte auprès de sa conseillère municipale libérale, Santa Duval, qui prend la 8ème place.
L’équilibre des territoires
« C’est une liste qui tient compte de l’équilibre des territoires avec une forte représentation du rural. Contrairement aux approches anciennes, elle n’a pas tenu à avoir systématiquement un maire ou un conseiller municipal dans chaque micro-territoire. Ceux-ci sont, cette année, très bien représentés par des journalistes, hôteliers, restaurateurs, chefs d’entreprise, agriculteurs, cadres… C’est très important ! Nous n’avons pas été à la pêche aux candidats, certains nous ont contactés directement, notamment des jeunes chefs d’entreprises qui n’ont pas 40 ans pour la plupart », commente Marie-Thérèse Mariotti. Et de citer, par exemple, le Bastiais Sebastien Ristori, analyste financier, Thomas Bodilis, gérant d’une entreprise de nettoyage à Borgo, Louise Nicolaï, horticultrice, présidente de l’union des entreprises de proximité de Corse et conseillère municipale à Lucciana, Dominique Franchi, restaurateur à Bastia…
Un air de jeunesse
La liste surprend, également, par une forte présence de jeunes, ce qui est inhabituel chez les partis traditionnels. « Je pense que le projet, que porte Jean-Martin, est le meilleur pour construire la Corse de demain. Il a décidé dans cette élection de faire confiance à la jeunesse. Il suffit de voir le nombre de jeunes qui sont sur la liste. Il met en avant le renouvellement. C’est très important ! », déclare Marc-Marie Guglielmi (33è), un jeune cadre cortenais de 28 ans qui s’engage pour la première fois en politique. « Je ne voulais plus entendre parler à longueur de temps de statut de résident, de prisonniers politiques ou autres… Les Corses ont besoin qu’on leur donne des solutions pour la santé, qu’on réduise le coût des transports… C’est pour cela que je me suis engagé aux côtés de Jean-Martin ».
N.M.
Des sortants
Sa liste reconduit, dans le peloton de tête, 5 conseillers territoriaux sortants dont l’ex-leader et ex-député porto-vecchiais Camille de Rocca-Serra (7è) - qui avait accueilli, en 2015, Jean-Martin Mondoloni sur sa liste -, le maire de Peri, Xavier Lacombe (3è), la mairesse de Taglio Isolaccio, Marie-Thérèse Mariotti (4è), et l’Ajaccienne Christelle Combette (6è). Elle récupère des élus départementaux : Chantal Pedinielli du Sartenais-Valinco à la 2ème place et les Ajacciens Marie Zuccarelli (22è) et Charles Voglimacci. Après avoir caressé, un moment, l’idée de partir en chef de file, le patron du SDIS 2A a longuement tergiversé entre les deux candidatures de droite, avant d’opérer un ralliement de dernière minute qui le positionne à la 13ème place. Autre récupéré sur le fil, le maire et conseiller départemental de Ghisonaccia, Francis Guidici, qui, après avoir fait le grand écart Giacobbiste et s’être essayé sans succès au macronisme, n’a pas réellement eu d’autre choix que de réintégrer sa famille politique d’origine : la droite. Malgré un échec sans appel aux législatives face aux Nationalistes, il n’en demeure pas moins, à la 9ème place, une recrue controversée, mais d’un poids électoral certain.
Des soutiens attendus
Dans le peloton de tête également, l’adjoint au maire de Calvi, Jean-Louis Delpoux, occupe la 5ème place. Si l’on attendait un autre Calvais, cette pôle position n’est pas une surprise, tout comme la présence de Dominique Andreani, maire de Cateri (15è). L’édile balanin a été le suppléant de Jean-Martin Mondoloni lors des élections législatives de juin dernier. Il fut, avec le maire de Calvi, Ange Santini, parmi ses premiers soutiens, lorsque ceux-ci étaient plutôt rares. La présence de Jean-Stéphane Allegrini-Simonetti (19è), fils du maire d’Ile Rousse, confirme l’assise balanine. Tout aussi attendu le soutien de Michel Rossi, maire de Ville-di-Pietrabugnu. Son conseiller municipal, Emmanuel Petri-Guasco, décroche la 11ème place, suivi par Paule Casanova-Nicolai, maire de Guargualè. A noter également la présence de Vincent Bruschini (23è), adjoint au maire de Lucciana, et de Patrick Sanguinetti (27è), adjoint au maire de Brando, ou encore Antoine Peretti (37è), maire de Pila-Canale, et Jean-Charles Castellani (49è), adjoint au maire de Canale di Verde. Plus inattendu, mais déjà connu, le soutien du maire de Propriano, Paul-Marie Bartoli, présent à Corte auprès de sa conseillère municipale libérale, Santa Duval, qui prend la 8ème place.
L’équilibre des territoires
« C’est une liste qui tient compte de l’équilibre des territoires avec une forte représentation du rural. Contrairement aux approches anciennes, elle n’a pas tenu à avoir systématiquement un maire ou un conseiller municipal dans chaque micro-territoire. Ceux-ci sont, cette année, très bien représentés par des journalistes, hôteliers, restaurateurs, chefs d’entreprise, agriculteurs, cadres… C’est très important ! Nous n’avons pas été à la pêche aux candidats, certains nous ont contactés directement, notamment des jeunes chefs d’entreprises qui n’ont pas 40 ans pour la plupart », commente Marie-Thérèse Mariotti. Et de citer, par exemple, le Bastiais Sebastien Ristori, analyste financier, Thomas Bodilis, gérant d’une entreprise de nettoyage à Borgo, Louise Nicolaï, horticultrice, présidente de l’union des entreprises de proximité de Corse et conseillère municipale à Lucciana, Dominique Franchi, restaurateur à Bastia…
Un air de jeunesse
La liste surprend, également, par une forte présence de jeunes, ce qui est inhabituel chez les partis traditionnels. « Je pense que le projet, que porte Jean-Martin, est le meilleur pour construire la Corse de demain. Il a décidé dans cette élection de faire confiance à la jeunesse. Il suffit de voir le nombre de jeunes qui sont sur la liste. Il met en avant le renouvellement. C’est très important ! », déclare Marc-Marie Guglielmi (33è), un jeune cadre cortenais de 28 ans qui s’engage pour la première fois en politique. « Je ne voulais plus entendre parler à longueur de temps de statut de résident, de prisonniers politiques ou autres… Les Corses ont besoin qu’on leur donne des solutions pour la santé, qu’on réduise le coût des transports… C’est pour cela que je me suis engagé aux côtés de Jean-Martin ».
N.M.
Jean-Martin Mondoloni : « Une liste pour renouveler, représenter et réconcilier »
- Quels principes ont guidé la constitution de la liste ?
- Nous avons élaboré la liste en tenant compte de trois objectifs que nous nous sommes fixés. Le renouvellement, avec des visages nouveaux qui viennent s’agréger à des gens d’expérience. C’est un honneur pour moi d’être entouré d’étudiants et de gens investis dans la société civile qui n’ont jamais exercé de fonctions électives. Cela représente un bon tiers de la liste avec une moyenne d’âge de 46 ans. En même temps, nous montrons notre volonté de représenter les territoires et notre présence sur ces territoires. Enfin, nous nous plaçons dans un souci de réconciliation. Nous avons trop souvent perdu des élections au motif que des rivalités et des querelles nous ont largement divisés. Ce temps-là doit nous inspirer, nous guider pour tourner la page, entrer dans une ère moderne et, en tenant compte des erreurs du passé, nous mettre en capacité d’écrire l’avenir.
- Vous parlez de renouvellement, mais on vous accuse d’avoir récupérer des vieux caciques de la droite ?
- Oui ! J’entends un certain nombre de critiques venant souvent des camps qui n’ont pas réussi à capter vers eux ces hommes qui représentent les territoires avec beaucoup d’abnégation et souvent beaucoup de reconnaissance. On oublie que, derrière les résultats électoraux, il y a la part de confiance que l’on prête et que l’on attribue à ceux qui réalisent ces scores. Je revendique et je m’en enorgueillis d’avoir sur ma liste ces hommes et ces femmes qui ont su représenter de façon déterminante leur territoire.
- Francis Guidici et Charles Voglimacci, ralliements de dernière minute, était-ce si important de les avoir ?
- La formule est un peu dépréciative ! Ce sont des gens qui ont adhéré, à un moment donné, à la démarche et à qui j’ai essayé de donner la juste place dans le dispositif.
- La présence du Professeur Lantieri en fin de liste est-ce symbolique ?
- Oui ! Il a un rayonnement international et il nous apporte la caution de la réussite. Sa présence est une façon de dire : « Oui, la Corse peut réussir ! Oui, elle peut investir un certain nombre de disciplines ! ». De dire aussi que les Corses, qui ont réussi ailleurs, se mettent en capacité de réinvestir leurs compétences dans l’île. Je citerai, aussi, Dumè Colonna, l’homme qui a marqué le football de l’après-guerre et qui nous fait l’honneur de nous accompagner, également Annonciade Quilichini qui est un grand professeur de lettres classiques… ainsi que tous celles et ceux qui ont souhaité s’engager pour écrire une nouvelle page de l’histoire politique de la Corse.
- La campagne, va-t-elle enfin démarrer ?
- Je crois que nous avons plutôt bien réussi la pré-campagne. Nous sommes dans le second étage de la fusée avec l’entrée en campagne et la publication de la liste. Il s’agit, pour nous, de réussir cette entrée à travers les symboles délivrés par les candidats. Nous laisserons passer les fêtes de la Toussaint, nous entrerons, dès lundi, de façon active, moderne, dynamique dans une campagne qui sera courte. Nous irons, à la fois, à la rencontre du peuple, investir les réseaux sociaux et donner à cette liste l’élan et la dynamique que la classe politique, dans son ensemble, et surtout les citoyens sont en droit d’attendre.
Propos recueillis par Nicole MARI.
- Quels principes ont guidé la constitution de la liste ?
- Nous avons élaboré la liste en tenant compte de trois objectifs que nous nous sommes fixés. Le renouvellement, avec des visages nouveaux qui viennent s’agréger à des gens d’expérience. C’est un honneur pour moi d’être entouré d’étudiants et de gens investis dans la société civile qui n’ont jamais exercé de fonctions électives. Cela représente un bon tiers de la liste avec une moyenne d’âge de 46 ans. En même temps, nous montrons notre volonté de représenter les territoires et notre présence sur ces territoires. Enfin, nous nous plaçons dans un souci de réconciliation. Nous avons trop souvent perdu des élections au motif que des rivalités et des querelles nous ont largement divisés. Ce temps-là doit nous inspirer, nous guider pour tourner la page, entrer dans une ère moderne et, en tenant compte des erreurs du passé, nous mettre en capacité d’écrire l’avenir.
- Vous parlez de renouvellement, mais on vous accuse d’avoir récupérer des vieux caciques de la droite ?
- Oui ! J’entends un certain nombre de critiques venant souvent des camps qui n’ont pas réussi à capter vers eux ces hommes qui représentent les territoires avec beaucoup d’abnégation et souvent beaucoup de reconnaissance. On oublie que, derrière les résultats électoraux, il y a la part de confiance que l’on prête et que l’on attribue à ceux qui réalisent ces scores. Je revendique et je m’en enorgueillis d’avoir sur ma liste ces hommes et ces femmes qui ont su représenter de façon déterminante leur territoire.
- Francis Guidici et Charles Voglimacci, ralliements de dernière minute, était-ce si important de les avoir ?
- La formule est un peu dépréciative ! Ce sont des gens qui ont adhéré, à un moment donné, à la démarche et à qui j’ai essayé de donner la juste place dans le dispositif.
- La présence du Professeur Lantieri en fin de liste est-ce symbolique ?
- Oui ! Il a un rayonnement international et il nous apporte la caution de la réussite. Sa présence est une façon de dire : « Oui, la Corse peut réussir ! Oui, elle peut investir un certain nombre de disciplines ! ». De dire aussi que les Corses, qui ont réussi ailleurs, se mettent en capacité de réinvestir leurs compétences dans l’île. Je citerai, aussi, Dumè Colonna, l’homme qui a marqué le football de l’après-guerre et qui nous fait l’honneur de nous accompagner, également Annonciade Quilichini qui est un grand professeur de lettres classiques… ainsi que tous celles et ceux qui ont souhaité s’engager pour écrire une nouvelle page de l’histoire politique de la Corse.
- La campagne, va-t-elle enfin démarrer ?
- Je crois que nous avons plutôt bien réussi la pré-campagne. Nous sommes dans le second étage de la fusée avec l’entrée en campagne et la publication de la liste. Il s’agit, pour nous, de réussir cette entrée à travers les symboles délivrés par les candidats. Nous laisserons passer les fêtes de la Toussaint, nous entrerons, dès lundi, de façon active, moderne, dynamique dans une campagne qui sera courte. Nous irons, à la fois, à la rencontre du peuple, investir les réseaux sociaux et donner à cette liste l’élan et la dynamique que la classe politique, dans son ensemble, et surtout les citoyens sont en droit d’attendre.
Propos recueillis par Nicole MARI.
LISTE « LA VOIE DE L’AVENIR, A STRADA DI L’AVVENE »,
- Jean-Martin MONDOLONI, Proviseur, Conseiller à l’Assemblée de Corse, Vescovato
- Chantal PEDINIELLI, Directrice de crèche, Conseillère départementale, Sainte-Lucie-de-Tallano
- Xavier LACOMBE, Conseiller Principal d’Education, Maire de Peri, Conseiller à l’Assemblée de Corse
- Marie-Thérèse MARIOTTI, Maire de Taglio-Isolaccio, Conseillère à l’Assemblée de Corse
- Jean-Louis DELPOUX, Adjoint au Maire de Calvi
- Christelle COMBETTE, Conseil en communication, Conseillère à l’Assemblée de Corse, Ajaccio
- Camille de ROCCA SERRA, Conseiller à l’Assemblée de Corse, Porto-Vecchio
- Santa DUVAL, Commerçante, Conseillère municipale de Propriano
- Francis GIUDICI, Exploitant agricole, Maire de Ghisonaccia, Conseiller départemental
- Maître Marie-Anne PIERI, Notaire, Ghisonaccia / Aleria
- Docteur Emmanuel PETRI-GUASCO, Pharmacien, conseiller municipal de Ville-di-Pietrabugno
- Paule CASANOVA-NICOLAI, Journaliste, Maire de Guargualè
- Charles VOGLIMACCI, Adjoint au maire d’Ajaccio, Conseiller départemental, Président du SDIS de Corse du Sud
- Véronique MULTINEDDU, Présidente de l’association Paul Toussaint, Des mots pour le dire, Porto-Vecchio
- Dominique ANDREANI, Hôtelier-restaurateur, Maire de Cateri
- Emmanuelle ORABONA, Secrétaire médicale, Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio / Zonza
- Florent ALBERTINI, Cadre supérieur administratif, Peru-Casevechje / Bastia
- Julie GIUDICI, Cadre de la Fonction Publique territoriale, Polveroso
- Jean-Stéphane ALLEGRINI-SIMONETTI, Responsable exploitation portuaire, L’Ile-Rousse
- Louise NICOLAI, Horticultrice, Présidente de l’Union des Entreprises de Proximité de Corse, Conseillère municipale à Lucciana
- Louis MARIANI, Enseignant, Venaco
- Marie ZUCCARELLI, Cadre de santé, Conseillère municipale d’Ajaccio, conseillère départementale, Ajaccio / Corte
- Vincent BRUSCHINI, Enseignant, Adjoint au Maire de Lucciana
- Anna MORETTI, Enseignante, Tralonca
- Jean-Noël LUCIANI, Cadre formation professionnelle, Vescovato
- Dominique GRANDJEAN, Ingénieure d’étude en communication à l’Université de Corse, Corte
- Patrick SANGUINETTI, Commerçant, Adjoint au Maire de Brando
- Catherine VINCIGUERRA, Commerçante, Ajaccio
- Dominique FRANCHI, Restaurateur, Bastia
- Céline FRATICELLI, Infirmière libérale, Ghisonaccia
- Paul OUSSET, Fonctionnaire territorial, Adjoint au Maire de Peri
- Muriel ALBERTINI, Professeure des écoles, Ajaccio
- Marc-Marie GUGLIELMI, Conseil en assurance, Corte
- Docteur Angèle BATTINI-LESUEUR, dite Ginou, Médecin, Ajaccio
- Thomas BODILIS, Gérant d’entreprise, Borgo
- Sylvie FRANCHINI, Conseillère Principale d’Education, San Gavinu d’Ampugnani
- Antoine DE PERETTI, Artisan, Maire de Pila-Canale
- Julie DEFENDINI, Agent immobilier, Prunelli di Fiumorbo
- Anthony AGOSTINI, Responsable administratif et commercial, Ajaccio
- Natacha GIACOBETTI, Etudiante, Bastia
- Jean-Alain TARELLI, Etudiant, assistant d’éducation, Lozzi/Furiani
- Marie-Madeleine FANTONI, Agent administratif, Vescovato
- Sébastien RISTORI, Analyste financier, Bastia
- Alexandra MICHEL, Etudiante, Bastia
- Enzo MARTEL, Etudiant, Furiani
- Julie ANDREANI, Etudiante, Bastia
- Stéphane LAPINA, Gérant d’entreprise, Ville-di-Pietrabugno
- Marie-Caroline MONDOLONI, Intervenante en langue et culture corses, Viggianello
- Jean-Charles CASTELLANI, Fonctionnaire territorial, Adjoint au maire de Canale di Verde
- Caroline MEDORI, Commerçante maraîchère, Ventiseri
- Florian FOURNIER, Cadre commercial, Sorbo-Ocagnano
- Mélanie LENOIR, Employée de banque, Bastia
- Gavinu ANDREANI, Etudiant, Olmi-Cappella
- Olivia GARSI, Conseillère Principale d’Education, Folelli
- Philippe PIAZZOLI, Enseignant, Lucciana
- Annie GENASI, Fonctionnaire Territoriale, Vezzani / Arbori
- Bruno CHIAVERINI, Manipulateur en radiologie, Alata
- Francine DELLA MAGGIORA, Retraitée, Bastia
- Lieutenant-Colonel Roger MUGLIONI, Retraité de l’Armée de Terre, Felce / Ajaccio
- Marie-Christine VELLUTINI, Chef de Service Qualité, Audit, Formation, Ajaccio
- Dominique COLONNA, Hôtelier-restaurateur en retraite, Ancien international français de football, Corte
- Annonciade QUILICHINI, Principale de collège en retraite, Adjointe au maire de Pianottoli-Caldarello
- Professeur Laurent LANTIERI, Chirurgien, Paris / Ajaccio