« Sur tout le territoire les mobilisations s’enchainent et la Corse n’y fait pas exception » souligne Julien Perraudin-Devicchi de la CGT La poste. «Aujourd’hui le mécontentement, la colère sont palpables sur les lieux de travail et touchent toutes les catégories de personnel sans exceptions ».
Cause de l’ire des postiers, la désorganisation de plus en plus grande dans l’entreprise, les mauvaises conditions de travaillent qui enflent, le non-respect des règles sociales, le pouvoir d’achat en baisse. La CGT pointe du doigt le non remplacement des postes vacants, le non versement d’une prime d’intéressement annuel, l’arrivée de travailleurs précaires (intérim ou CDD), l’adaptation toujours plus grande demandée aux agents. «A cela il faut rajouter les futurs projets » commente J.Perraudin-Devicchi, «celui des centres multiflux qui risquent d’impacter l’ensemble des facteurs de Corse ou encore le projet de la direction d’imposer les tours de congés aux agents. In fine avec toujours moins d’agents, des agents moins bien formés et des objectifs de rentabilité toujours plus important, la qualité du service rendu aux usagers s’en retrouve directement impactée»
L’objectif de cette journée pour la CGT était de faire entendre à la direction la colère des agents et leur aspiration à voir les moyens d’exercer leurs fonctions dans des conditions saines et cohérentes.
« Aujourd’hui nous demandons à notre direction : la fin du gel des emplois vacants, une véritable reconnaissance des personnels présents sur le terrain, l’arrêt des réorganisations tant au courrier qu’au réseau qui suppriment des emplois et dégradent nos conditions de travail, une véritable revalorisation de notre pouvoir d’achat».
Cette grève a été bien suivie dans toute la Corse par les personnels. A titre d'exemple, au centre de tri de Furiani, le taux de grévistes frôlait les 85%.
Cause de l’ire des postiers, la désorganisation de plus en plus grande dans l’entreprise, les mauvaises conditions de travaillent qui enflent, le non-respect des règles sociales, le pouvoir d’achat en baisse. La CGT pointe du doigt le non remplacement des postes vacants, le non versement d’une prime d’intéressement annuel, l’arrivée de travailleurs précaires (intérim ou CDD), l’adaptation toujours plus grande demandée aux agents. «A cela il faut rajouter les futurs projets » commente J.Perraudin-Devicchi, «celui des centres multiflux qui risquent d’impacter l’ensemble des facteurs de Corse ou encore le projet de la direction d’imposer les tours de congés aux agents. In fine avec toujours moins d’agents, des agents moins bien formés et des objectifs de rentabilité toujours plus important, la qualité du service rendu aux usagers s’en retrouve directement impactée»
L’objectif de cette journée pour la CGT était de faire entendre à la direction la colère des agents et leur aspiration à voir les moyens d’exercer leurs fonctions dans des conditions saines et cohérentes.
« Aujourd’hui nous demandons à notre direction : la fin du gel des emplois vacants, une véritable reconnaissance des personnels présents sur le terrain, l’arrêt des réorganisations tant au courrier qu’au réseau qui suppriment des emplois et dégradent nos conditions de travail, une véritable revalorisation de notre pouvoir d’achat».
Cette grève a été bien suivie dans toute la Corse par les personnels. A titre d'exemple, au centre de tri de Furiani, le taux de grévistes frôlait les 85%.