Ça s'active en coulisse. Le réalisateur donne ses dernières indications à l'acteur principal. Les techniciens s'affairent à installer le plateau : rail de travelling, éclairage, caméra… Un dernier morceau de scotch au sol pour laisser des repères au comédiens et tout le monde rejoint son poste, prêt à tourner.
Ce mercredi 19 mai, les étudiants du DU Créatac (CRÉations et Techniques Audiovisuelles et Cinématographiques de Corse) travaillent sur leur film de fin d'étude. Chacun à sa place, chacun avec ses attributions. Comme Hugo, chargé de production sur ce projet : « Mon rôle est d'accompagner ce tournage, aussi bien l'aspect technique que logistique. On devait tourner au Musée Fesch à Ajaccio, on n'a pas eu l'autorisation. Au dernier moment, on s'est rabattu sur Bastia. Il a fallu trouver des logements pour douze personnes, prévoir les repas, les transports… »
Fatigué mais heureux, Hugo s'inquiète auprès du réalisateur si tout va bien, vérifie que les repas sont prêts pour midi et appel déjà pour prévoir le départ : « On est arrivé hier soir pour tourner de bonne heure ce matin. On fait journée continue puis on repart ce soir, direction Corte. »
Chaque prise doit être la bonne avec un planning serré qui ne laisse pas le droit à l'erreur. Tellement serré qu'il ne laisse pas non plus le temps de profiter de la réouverture des terrasses ou des cinémas. « On verra ça plus tard ! » confirme Esther, en licence cinéma, venue renforcer l'équipe. « En même temps, ce n'est pas tous les jours que l'on tourne un film dans un Musée ! »
Ce mercredi 19 mai, les étudiants du DU Créatac (CRÉations et Techniques Audiovisuelles et Cinématographiques de Corse) travaillent sur leur film de fin d'étude. Chacun à sa place, chacun avec ses attributions. Comme Hugo, chargé de production sur ce projet : « Mon rôle est d'accompagner ce tournage, aussi bien l'aspect technique que logistique. On devait tourner au Musée Fesch à Ajaccio, on n'a pas eu l'autorisation. Au dernier moment, on s'est rabattu sur Bastia. Il a fallu trouver des logements pour douze personnes, prévoir les repas, les transports… »
Fatigué mais heureux, Hugo s'inquiète auprès du réalisateur si tout va bien, vérifie que les repas sont prêts pour midi et appel déjà pour prévoir le départ : « On est arrivé hier soir pour tourner de bonne heure ce matin. On fait journée continue puis on repart ce soir, direction Corte. »
Chaque prise doit être la bonne avec un planning serré qui ne laisse pas le droit à l'erreur. Tellement serré qu'il ne laisse pas non plus le temps de profiter de la réouverture des terrasses ou des cinémas. « On verra ça plus tard ! » confirme Esther, en licence cinéma, venue renforcer l'équipe. « En même temps, ce n'est pas tous les jours que l'on tourne un film dans un Musée ! »