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Les députés étaient appelés ce mercredi à se prononcer sur deux motions de censure, déposées respectivement par la gauche et le Rassemblement national, après que le gouvernement a engagé sa responsabilité pour faire adopter sans vote le budget de la Sécurité sociale. La motion portée par la gauche a été adoptée en soirée, avec le soutien du Rassemblement national.
La barre des 288 suffrages nécessaire pour faire tomber le gouvernement a été largement franchie grâce à la combinaison des voix du NFP, du Rassemblement national et de son allié UDR (le groupe d’Eric Ciotti). Pendant 45 minutes, les parlementaires en faveur de la motion de censure ont glissé leur vote dans les urnes situées dans les salles voisines de l'Hémicycle. Sans grande surprise, à gauche et au RN, on a largement voté la censure.
Au sein du socle commun, on s'y est opposé. Les 34 députés du groupe Horizon, présidé par Laurent Marcangeli, député de la première circonscription de Corse-du-Sud, ont choisi de ne pas voter la censure. Cette position a également été adoptée par des 47 députés du groupe Droite Républicaine, dont François-Xavier Ceccoli, député de la deuxième circonscription de Haute-Corse.
Par ailleurs, au sein du groupe Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires (LIOT), les deux députés nationalistes, Paul-André Colombani et Michel Castellani, ont également fait le choix de ne pas soutenir la censure.
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La barre des 288 suffrages nécessaire pour faire tomber le gouvernement a été largement franchie grâce à la combinaison des voix du NFP, du Rassemblement national et de son allié UDR (le groupe d’Eric Ciotti). Pendant 45 minutes, les parlementaires en faveur de la motion de censure ont glissé leur vote dans les urnes situées dans les salles voisines de l'Hémicycle. Sans grande surprise, à gauche et au RN, on a largement voté la censure.
Au sein du socle commun, on s'y est opposé. Les 34 députés du groupe Horizon, présidé par Laurent Marcangeli, député de la première circonscription de Corse-du-Sud, ont choisi de ne pas voter la censure. Cette position a également été adoptée par des 47 députés du groupe Droite Républicaine, dont François-Xavier Ceccoli, député de la deuxième circonscription de Haute-Corse.
Par ailleurs, au sein du groupe Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires (LIOT), les deux députés nationalistes, Paul-André Colombani et Michel Castellani, ont également fait le choix de ne pas soutenir la censure.
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