Ce pic de pollution est inhérent à des concentrations en paricules fines PM10 supérieures à 50 µg/m3 sur 24 heures glissantes
Les PM 10 sont des particules en suspension dans l’air dont le diamètre est inférieur à 10 micromètres, d’où leur nom anglais de particulate matter 10, ou PM 10 en abrégé.
D’origine naturelle (érosion, volcanisme …) ou anthropique (fumée, usure, etc.), ces particules demeurent plus ou moins longtemps dans l’atmosphère. Les plus grossières (supérieures à 2,5 micromètres) retombent assez vite, tandis que les plus fines peuvent rester plusieurs jours en suspension et parcourir des milliers de kilomètres.
Étant donné que plus les particules sont fines et plus elles sont dangereuses pour la santé, les PM 10 sont subdivisées en catégories de particules plus petites :
- les PM 2,5 (particules fines inférieures à 2,5 microns) ;
- les PM 1 (particules très fines inférieures à 1 micron) ;
- les PM 0,1 (particules ultrafines inférieures à 0,1 micron) ou nanoparticules.
Ces particules sont de plus en plus prises en compte par les politiques de santé publique et les réglementations, au fur et à mesure que leur toxicité est révélée (amiante, hydrocarbures aromatiques polycycliques…) et que les moyens de mesures se perfectionnent.
Les PM 10 sont des particules en suspension dans l’air dont le diamètre est inférieur à 10 micromètres, d’où leur nom anglais de particulate matter 10, ou PM 10 en abrégé.
D’origine naturelle (érosion, volcanisme …) ou anthropique (fumée, usure, etc.), ces particules demeurent plus ou moins longtemps dans l’atmosphère. Les plus grossières (supérieures à 2,5 micromètres) retombent assez vite, tandis que les plus fines peuvent rester plusieurs jours en suspension et parcourir des milliers de kilomètres.
Étant donné que plus les particules sont fines et plus elles sont dangereuses pour la santé, les PM 10 sont subdivisées en catégories de particules plus petites :
- les PM 2,5 (particules fines inférieures à 2,5 microns) ;
- les PM 1 (particules très fines inférieures à 1 micron) ;
- les PM 0,1 (particules ultrafines inférieures à 0,1 micron) ou nanoparticules.
Ces particules sont de plus en plus prises en compte par les politiques de santé publique et les réglementations, au fur et à mesure que leur toxicité est révélée (amiante, hydrocarbures aromatiques polycycliques…) et que les moyens de mesures se perfectionnent.
Ce qu'il faut savoir
Objectif de qualité PM10 : 30 µg/m3 en moyenne annuelle.
Valeurs limites pour la protection de la santé humaine pour les PM10 (applicables aux concentrations non liées à des événements naturels) :
Valeurs limites pour la protection de la santé humaine pour les PM10 (applicables aux concentrations non liées à des événements naturels) :
- 50 µg/m3 en moyenne journalière, à ne pas dépasser plus de 35 jours par an ;
- 40 µg/m3 en moyenne annuelle.