C'est en visio-conférence du centre pénitentiaire de Borgo que Joseph Castelli a appris la bonne nouvelle : la cour d'appel de Bastia a accepté sa demande de remise en liberté et le place sous contrôle judiciaire. Pour la cour, "les critères de détention provisoire n'étaient pas justifiés". Ce jeudi 3 juin, dans l'après-midi il pourra donc regagner son domicile et retrouver ses proches pour fêter dès demain son 73ème anniversaire.
"Un excellent cadeau", lance l'homme qui avait invoqué des raisons de santé pour effectuer sa demande.
Au sortir de l'audience, l'avocat de Joseph Castelli se réjouit d'une "décision juste". Pour lui, le mandat de dépôt différé de l'ancien sénateur qui avait été demandé dans le jugement de première instance n'aurait, dès le départ, "pas dû être délivré".
L'homme de 72 ans a été condamné le 30 mars dernier en première instance par le tribunal correctionnel de Bastia, pour trafic d'influence passif et de faux en écriture à une peine de 4 ans de prison, dont 3 ans ferme, assortie d'une amende de 100.000 euros et de la confiscation de sa villa. Une condamnation pour laquelle il a fait appel.
"Un excellent cadeau", lance l'homme qui avait invoqué des raisons de santé pour effectuer sa demande.
Au sortir de l'audience, l'avocat de Joseph Castelli se réjouit d'une "décision juste". Pour lui, le mandat de dépôt différé de l'ancien sénateur qui avait été demandé dans le jugement de première instance n'aurait, dès le départ, "pas dû être délivré".
L'homme de 72 ans a été condamné le 30 mars dernier en première instance par le tribunal correctionnel de Bastia, pour trafic d'influence passif et de faux en écriture à une peine de 4 ans de prison, dont 3 ans ferme, assortie d'une amende de 100.000 euros et de la confiscation de sa villa. Une condamnation pour laquelle il a fait appel.