C'est de "Mare Vivu" qui naît cette idée si originale. Créée en 2016 et composée de jeunes étudiants capcorsins, se définissant eux-même comme des éco-aventuriers, l'association a comme objectif principal de " constituer un pôle d’excellence en sciences participatives et environnementales en Corse, et mobiliser la jeunesse engagée pour la sauvegarde et la valorisation de la biodiversité marine. "
Après avoir notamment organisé la "Mission CorSeaCar", un tour de Corse d'un mois en Kayak, à voile, et à pédales, pendant lequel sont réalisées des collectes scientifiques et des actions de sensibilisations, l'association a décidé de voir plus grand et veut désormais s'offrir la traversée la plus extrême et la plus dure du monde.
Après avoir notamment organisé la "Mission CorSeaCar", un tour de Corse d'un mois en Kayak, à voile, et à pédales, pendant lequel sont réalisées des collectes scientifiques et des actions de sensibilisations, l'association a décidé de voir plus grand et veut désormais s'offrir la traversée la plus extrême et la plus dure du monde.
" Plus de grimpeurs ont gravi l'Everest que de rameurs ont tenté cette course transatlantique "
Pour ce faire, ce sont 2 membres du club "Aviron de Haute-Corse" et membres de "Mare Vivu", Dominique Miani et Patrick Boni, qui s'entraînent déjà d'arrache pied avec un programme de taille à réaliser avant l'échéance finale.
Et c'est peu dire lorsque l'on sait que, déjà au mois de fevrier, les deux navigateurs ont décidé de tester leur endurance en avalant, à pied, 50 kilomètres et 3100 mètres de dénivelé positif sur les crêtes du Cap Corse de la pointe Nord jusqu'à Bastia en seulement 3 jours et 2 nuits.
Le 24 mars, ils ont bouclés leur traversée des Bouches de Bunifaziu à bord de leur yole océanique "Papa Delta", soit 50 kilomètres aller-retour entre la Corse et Santa Teresa en Sardaigne, en 12 heures et ce, malgré une météo très peu favorable.
Comme si cela ne suffisait pas, les deux rameurs ont prévus, pour le mois d'Avril, une traversée Calvi-Monaco, soit 170 kilomètres à la force des bras, au beau milieu de la Méditerrané avec, dans le même temps, une collecte de données scientifiques à l'aide d'un filet à plancton.
D'autres défis, plus intenses les uns que les autres, sont également à venir durant toute l'année afin de réaliser l'objectif fixé, et qui force respect et admiration : une course transatlantique de 5 000 kilomètres, reliant les îles Canaries aux Antilles, à bord d'un yole océanique autonome en énergie, à la seule force des bras, et dans des conditions extrêmes afin de "mettre en lumière les enjeux environnementaux et faire vivre l'engagement pour l'environnement à travers une aventure humaine unique".
Et c'est peu dire lorsque l'on sait que, déjà au mois de fevrier, les deux navigateurs ont décidé de tester leur endurance en avalant, à pied, 50 kilomètres et 3100 mètres de dénivelé positif sur les crêtes du Cap Corse de la pointe Nord jusqu'à Bastia en seulement 3 jours et 2 nuits.
Le 24 mars, ils ont bouclés leur traversée des Bouches de Bunifaziu à bord de leur yole océanique "Papa Delta", soit 50 kilomètres aller-retour entre la Corse et Santa Teresa en Sardaigne, en 12 heures et ce, malgré une météo très peu favorable.
Comme si cela ne suffisait pas, les deux rameurs ont prévus, pour le mois d'Avril, une traversée Calvi-Monaco, soit 170 kilomètres à la force des bras, au beau milieu de la Méditerrané avec, dans le même temps, une collecte de données scientifiques à l'aide d'un filet à plancton.
D'autres défis, plus intenses les uns que les autres, sont également à venir durant toute l'année afin de réaliser l'objectif fixé, et qui force respect et admiration : une course transatlantique de 5 000 kilomètres, reliant les îles Canaries aux Antilles, à bord d'un yole océanique autonome en énergie, à la seule force des bras, et dans des conditions extrêmes afin de "mettre en lumière les enjeux environnementaux et faire vivre l'engagement pour l'environnement à travers une aventure humaine unique".