Ils ont été fermés pendant plusieurs mois, ont du réduire leur capacité d’accueil et jongler avec une programmation aléatoire faite de reports et d’annulations. 2020 restera une année noire pour les salles de cinémas en France qui ont enregistré 65,10 millions d’entrées, contre plus de 210 en 2019, selon le rapport annuel du CNC, accusant ainsi une chute de 69,4 % par rapport à l’année dernière.
« L’année 2020 est marquée par la pandémie mondiale de Covid-19, qui a conduit à la fermeture des salles de cinéma à deux reprises pendant 162 jours au total. Sur l’ensemble de l’année 2020, la fréquentation atteint 30 % de celle observée en 2019 », précise Benoît Danard, directeur des études, des statistiques et de la prospective au CNC. « Malgré tout, on ne s’en sort pas si mal, les Français restant attachés à aller au cinéma. Cela demeure la sortie culturelle la plus répandue, en couple, en famille, entre amis. »
Autre motif de satisfaction dans le marasme ambiant, les films français ont réalisé davantage d’entrées que les films US. Un phénomène qui ne s’était pas produit depuis 2006. Les longs métrages français ont dynamisé le marché à l’image du De Gaulle de Gabriel Le Bomin, même si les trois films a avoir dépassé les 2 millions d'entrées sont américains.
Les cinémas de l’île n’ont pas été épargnés Que ce soit du côté de Bastia, au Régent comme au Studio, d’Ajaccio, à L’Ellipse ou de Lecci avec le Galaxy, les salles insulaires ont également enregistré un net recul de leurs entrées – certaines annoncent 80% de baisse de fréquentation – surtout comparé à 2019 qui avait été une très belle année.
« L’année 2020 est marquée par la pandémie mondiale de Covid-19, qui a conduit à la fermeture des salles de cinéma à deux reprises pendant 162 jours au total. Sur l’ensemble de l’année 2020, la fréquentation atteint 30 % de celle observée en 2019 », précise Benoît Danard, directeur des études, des statistiques et de la prospective au CNC. « Malgré tout, on ne s’en sort pas si mal, les Français restant attachés à aller au cinéma. Cela demeure la sortie culturelle la plus répandue, en couple, en famille, entre amis. »
Autre motif de satisfaction dans le marasme ambiant, les films français ont réalisé davantage d’entrées que les films US. Un phénomène qui ne s’était pas produit depuis 2006. Les longs métrages français ont dynamisé le marché à l’image du De Gaulle de Gabriel Le Bomin, même si les trois films a avoir dépassé les 2 millions d'entrées sont américains.
Les cinémas de l’île n’ont pas été épargnés Que ce soit du côté de Bastia, au Régent comme au Studio, d’Ajaccio, à L’Ellipse ou de Lecci avec le Galaxy, les salles insulaires ont également enregistré un net recul de leurs entrées – certaines annoncent 80% de baisse de fréquentation – surtout comparé à 2019 qui avait été une très belle année.