C’est une feuille de route qui vise à définir les objectifs prioritaires de l’Académie de Corse. Le recteur Rémi-François Paolini, vient de lancer les travaux visant à construire le nouveau projet académique 2025-2030. Dans une lettre adressée aux DASEN, aux inspecteurs et aux chefs d’établissement de l’île le 21 novembre dernier, il annonce ainsi qu’un diagnostic de terrain va être mené jusqu’à la fin de l’année. Se disant « très attaché à l’approche collégiale », il souhaite en effet associer l’ensemble des acteurs de l’Éducation nationale à la construction de cet outil de pilotage.
« Un projet académique c’est notre feuille de route partagée qui doit répondre à la question « qu’est ce qui nous semble important et prioritaire pour l’académie ? » », rappelle-t-il en indiquant : « Nous allons innover avec ce nouveau projet académique ». Si le précédent document qui s’est achevé en 2022 présentait en effet l’ensemble des actions et des politiques éducatives à mener dans l’Académie de Corse, le recteur entend cette fois entreprendre une construction avec une approche différente. « J’ai réuni récemment tous les chefs d’établissements de l’île et l’ensemble des inspecteurs et ce qu’il ressort c’est que nous voulons pouvoir mettre en avant un nombre limité d’axes prioritaires. Nous allons définir des chantiers sur lesquels nous voulons vraiment nous engager au regard des besoins de l’académie de Corse », explique-t-il en déroulant : « La première phase, que nous allons mener jusqu’à la fin de l’année va avoir pour objectif de déterminer quels seront ces axes. Pour cela, nous voulons travailler avec le terrain, avec les équipes au contact des élèves du primaire et du secondaire qui savent les besoins dans les établissements sur lesquels il faut mettre l’accent. Ils disposent de projets d’école, de projets d’établissement, d’évaluations… J’ai demandé à ce qu’on nous fasse remonter les priorités qui sont issues de ces documents ». Une phase de sondage de ce qui parait essentiel aux différents acteurs de l’éducation du territoire qui durera un petit mois. « Nous voulons aller vite. D’ici la fin de l’année, nous allons faire la synthèse de ces différents éléments pour dégager un nombre limité d’axes prioritaires. Nous sommes dans une logique dans laquelle on veut donner des priorités sur lesquelles on va s’engager très concrètement avec des cibles, des résultats et des évaluations. C’est pour cela qu’il ne faut pas se tromper dans les axes prioritaires que l’on va retenir. Il faut que ce soit des choses extrêmement importantes qui parlent à l’académie, qui correspondent à des besoins que l’on a identifiés », insiste le recteur.
« Un projet académique c’est notre feuille de route partagée qui doit répondre à la question « qu’est ce qui nous semble important et prioritaire pour l’académie ? » », rappelle-t-il en indiquant : « Nous allons innover avec ce nouveau projet académique ». Si le précédent document qui s’est achevé en 2022 présentait en effet l’ensemble des actions et des politiques éducatives à mener dans l’Académie de Corse, le recteur entend cette fois entreprendre une construction avec une approche différente. « J’ai réuni récemment tous les chefs d’établissements de l’île et l’ensemble des inspecteurs et ce qu’il ressort c’est que nous voulons pouvoir mettre en avant un nombre limité d’axes prioritaires. Nous allons définir des chantiers sur lesquels nous voulons vraiment nous engager au regard des besoins de l’académie de Corse », explique-t-il en déroulant : « La première phase, que nous allons mener jusqu’à la fin de l’année va avoir pour objectif de déterminer quels seront ces axes. Pour cela, nous voulons travailler avec le terrain, avec les équipes au contact des élèves du primaire et du secondaire qui savent les besoins dans les établissements sur lesquels il faut mettre l’accent. Ils disposent de projets d’école, de projets d’établissement, d’évaluations… J’ai demandé à ce qu’on nous fasse remonter les priorités qui sont issues de ces documents ». Une phase de sondage de ce qui parait essentiel aux différents acteurs de l’éducation du territoire qui durera un petit mois. « Nous voulons aller vite. D’ici la fin de l’année, nous allons faire la synthèse de ces différents éléments pour dégager un nombre limité d’axes prioritaires. Nous sommes dans une logique dans laquelle on veut donner des priorités sur lesquelles on va s’engager très concrètement avec des cibles, des résultats et des évaluations. C’est pour cela qu’il ne faut pas se tromper dans les axes prioritaires que l’on va retenir. Il faut que ce soit des choses extrêmement importantes qui parlent à l’académie, qui correspondent à des besoins que l’on a identifiés », insiste le recteur.
Une fois ce cap défini, une seconde étape s’astreindra ensuite à définir les objectifs des axes prioritaires, les moyens à mobiliser pour y parvenir en termes d’investissements, de formation ou d’accompagnement, ainsi que les partenaires avec qui travailler. « Le projet académique n’est pas le projet des seuls services académiques. C’est un projet de société parce qu’on forme notre jeunesse. Cela ne se fait pas sans les institutions, au premier rang desquelles la Collectivité de Corse et les communes. Cela se travaille aussi avec les organisations syndicales », glisse Rémi-François Paolini en dévoilant que des groupes de travail seront créés en début d’année et intégreront aussi le Cesec et le monde socio-économique. « Je souhaite que ces groupes de travail soient co-présidés par un représentant de l’Éducation nationale et quelqu’un de l’extérieur car c’est un projet qui est ouvert vers la société », appuie-t-il encore en notant que « la réussite ne peut être que collective ».
Le calendrier tel que défini par les services de l’académie prévoit une conclusion des travaux de ces groupes de travail au printemps, afin de présenter le projet académique dans un temps assez court et de commencer à le traduire dans les établissements à compter de la rentrée de septembre.
Le calendrier tel que défini par les services de l’académie prévoit une conclusion des travaux de ces groupes de travail au printemps, afin de présenter le projet académique dans un temps assez court et de commencer à le traduire dans les établissements à compter de la rentrée de septembre.