Jean-Luc Airola a tenu, en effet, "sans entrer dans une polémique stérile" à apporter quelques précisions à ce propos.
Celui qui est secrétaire général de la LCF rappelle notamment que "dans sa proposition de conciliation du 11 octobre dernier, le conciliateur du CNOSF précise qu’aucune des supposées irrégularités avancées par le requérant (liste Uniti pè una strada cumuna) n’est recevable."
Il affirme également, est-il encore précisé dans la réponse destinée à la liste "Uniti pè una strada cumuna ", que la commission de surveillance des opérations électorales (CSOE), régulièrement composée, a notamment « en considérant l’inéligibilité constatée d’un membre de la liste Uniti pè una strada cummuna, nécessairement (et justement) prononcé le rejet de celle-ci. »
Il est aussi fait rappel du fait que le comité directeur de la ligue a notamment pour attribution d’assurer la bonne application des règlements souvent en confiant cette mission à des commissions indépendantes (commissions statuts et règlements, disciplines, appel, CSOE...) et que des recours sont toujours possibles auprès des instances du football ou des autorités judiciaires administratives et/ou civiles."
Il était donc prévisible que le comité directeur, n’ayant pas d’éléments réglementaires nouveaux mettant en cause la régularité de la décision de la CSOE, ne remette pas en cause le bien-fondé de celle-ci. C'est donc en toute responsabilité que nous considérons que le comité directeur garant de l'institution et de ses règlements n'a pas souhaité suivre la proposition du CNOSF."
Enfin Jean-Luc Airola et ses colistiers disent par ailleurs avoir "pris acte que la liste Uniti pè Una strada cumuna appelle à voter contre notre liste le 26 octobre prochain à l’occasion de l’assemblée générale de notre ligue.
Nous prendrons, à l’issue de cette assemblée générale, nos responsabilités à la vue de l’expression démocratique qui résultera de ce scrutin."
Celui qui est secrétaire général de la LCF rappelle notamment que "dans sa proposition de conciliation du 11 octobre dernier, le conciliateur du CNOSF précise qu’aucune des supposées irrégularités avancées par le requérant (liste Uniti pè una strada cumuna) n’est recevable."
Il affirme également, est-il encore précisé dans la réponse destinée à la liste "Uniti pè una strada cumuna ", que la commission de surveillance des opérations électorales (CSOE), régulièrement composée, a notamment « en considérant l’inéligibilité constatée d’un membre de la liste Uniti pè una strada cummuna, nécessairement (et justement) prononcé le rejet de celle-ci. »
Il est aussi fait rappel du fait que le comité directeur de la ligue a notamment pour attribution d’assurer la bonne application des règlements souvent en confiant cette mission à des commissions indépendantes (commissions statuts et règlements, disciplines, appel, CSOE...) et que des recours sont toujours possibles auprès des instances du football ou des autorités judiciaires administratives et/ou civiles."
Il était donc prévisible que le comité directeur, n’ayant pas d’éléments réglementaires nouveaux mettant en cause la régularité de la décision de la CSOE, ne remette pas en cause le bien-fondé de celle-ci. C'est donc en toute responsabilité que nous considérons que le comité directeur garant de l'institution et de ses règlements n'a pas souhaité suivre la proposition du CNOSF."
Enfin Jean-Luc Airola et ses colistiers disent par ailleurs avoir "pris acte que la liste Uniti pè Una strada cumuna appelle à voter contre notre liste le 26 octobre prochain à l’occasion de l’assemblée générale de notre ligue.
Nous prendrons, à l’issue de cette assemblée générale, nos responsabilités à la vue de l’expression démocratique qui résultera de ce scrutin."