Cette tradition païenne est chère aux cœurs des porto-vecchiais qui continuent à transmettre au fil du temps, l’origine de cette manifestation annuelle regroupant autour d’un même symbole, les anciens, les nouvelles générations et les touristes intrigués.
La fin du dur labeur de l’été était représentée et célébrée à l’aide d’un épouvantail confectionné en paille puis amené sur le bûcher pour y être brûlé.
Les grands-pères et arrière-grands-pères porto-vecchiais, qui ont connu cette époque révolue, entretiennent en famille les souvenirs de leur travail épuisant, sous une chaleur écrasante (démasclage du liège, fenaison, battage du blé, récolte du sel, etc.).
Ils ont, à la sueur de leur front , participé au début de l’essor économique de la cité du sel à l'époque où Porto-Vecchio n’était alors qu’un village qui vivait au rythme des salins (d’où le surnom actuel) et du liège (où l’usine sur le port fabriquait des bouchons).
À l’heure actuelle, les salins sont malheureusement fermés et l’usine à liège a été transformée en théâtre de plein air.
Avec cette chaleur et ce travail épuisant, les hommes étaient confrontés au paludisme et à la malaria, et les chenilles processionnaires qui affectionnant principalement les chênes-liège, étaient une véritable torture urticante lorsqu’elles se « promenaient » sur le torse nu des travailleurs.
La fin du mois de Juillet était donc une délivrance, qu’il convenait de célébrer, car le travail prenait fin.
La confection d’un épouvantail en paille représentait tout ce que les hommes avaient supporté pendant ces pénibles travaux.
La mise à mort de ce bonhomme de paille, brûlé en place publique servait, dans l’esprit des habitants à conjurer le mauvais sort et à éloigner le mal hors du village .
Chaque année au 31 Juillet, Porto-vecchio perpétue la tradition avec la confection du fameux bonhomme, en le faisant défiler dans les rues, poursuivi et hué par la population avant de le brûler sur la place publique.
La fin du dur labeur de l’été était représentée et célébrée à l’aide d’un épouvantail confectionné en paille puis amené sur le bûcher pour y être brûlé.
Les grands-pères et arrière-grands-pères porto-vecchiais, qui ont connu cette époque révolue, entretiennent en famille les souvenirs de leur travail épuisant, sous une chaleur écrasante (démasclage du liège, fenaison, battage du blé, récolte du sel, etc.).
Ils ont, à la sueur de leur front , participé au début de l’essor économique de la cité du sel à l'époque où Porto-Vecchio n’était alors qu’un village qui vivait au rythme des salins (d’où le surnom actuel) et du liège (où l’usine sur le port fabriquait des bouchons).
À l’heure actuelle, les salins sont malheureusement fermés et l’usine à liège a été transformée en théâtre de plein air.
Avec cette chaleur et ce travail épuisant, les hommes étaient confrontés au paludisme et à la malaria, et les chenilles processionnaires qui affectionnant principalement les chênes-liège, étaient une véritable torture urticante lorsqu’elles se « promenaient » sur le torse nu des travailleurs.
La fin du mois de Juillet était donc une délivrance, qu’il convenait de célébrer, car le travail prenait fin.
La confection d’un épouvantail en paille représentait tout ce que les hommes avaient supporté pendant ces pénibles travaux.
La mise à mort de ce bonhomme de paille, brûlé en place publique servait, dans l’esprit des habitants à conjurer le mauvais sort et à éloigner le mal hors du village .
Chaque année au 31 Juillet, Porto-vecchio perpétue la tradition avec la confection du fameux bonhomme, en le faisant défiler dans les rues, poursuivi et hué par la population avant de le brûler sur la place publique.