L'hémicycle de l'Assemblée nationale.
« Ce projet de loi sécurité n’est pas au service de la population et encore moins du monde du travail » souligne la CGT de Haute-Corse.
«Ce texte contient de nombreuses atteintes au droit de la vie privée, à la liberté d’informer, au principe d’égalité et à des principes constitutionnels de légalité des peines et délits ». Pour la CGT de la Haute Corse, il s’agit là d’un cran supplémentaire gravi par le gouvernement dans la remise en cause de la liberté de manifester. Par exemple, pour la CGT, l’utilisation de drones lors des manifestations n’a pas vocation à protéger la population ou à contribuer à la pacification des manifestations mais «à faciliter la répression des militants et à intensifier les pratiques de nassage, de gaz et grenades lacrymogènes ». La liberté de la presse est elle aussi menacée souligne le syndicat : «La liberté de la presse est également dans le viseur avec la création d’un nouveau délit qui empêche la diffusion d’images d’agents de police ou de gendarmerie. Or, le caractère public des forces de sécurité́ et le nécessaire contrôle démocratique de celles-ci ne sont pas compatibles avec cette grave atteinte à la liberté́ d’informer ».
Et la CGT de conclure « La sécurité de demain doit être au service de toute la population et assurer par un service public uniforme sur tout le territoire, dotée de moyens humains et matériels, contrôlée par la population de façon démocratique et être garante de la devise de la République : Liberté - Égalité – Fraternité ». La CGT de Haute Corse conclut en soulignant qu’elle « sera toujours du côté de ceux qui défendent la liberté de manifester, la liberté́ d’informer et des services publics garants de toutes les libertés ».
«Ce texte contient de nombreuses atteintes au droit de la vie privée, à la liberté d’informer, au principe d’égalité et à des principes constitutionnels de légalité des peines et délits ». Pour la CGT de la Haute Corse, il s’agit là d’un cran supplémentaire gravi par le gouvernement dans la remise en cause de la liberté de manifester. Par exemple, pour la CGT, l’utilisation de drones lors des manifestations n’a pas vocation à protéger la population ou à contribuer à la pacification des manifestations mais «à faciliter la répression des militants et à intensifier les pratiques de nassage, de gaz et grenades lacrymogènes ». La liberté de la presse est elle aussi menacée souligne le syndicat : «La liberté de la presse est également dans le viseur avec la création d’un nouveau délit qui empêche la diffusion d’images d’agents de police ou de gendarmerie. Or, le caractère public des forces de sécurité́ et le nécessaire contrôle démocratique de celles-ci ne sont pas compatibles avec cette grave atteinte à la liberté́ d’informer ».
Et la CGT de conclure « La sécurité de demain doit être au service de toute la population et assurer par un service public uniforme sur tout le territoire, dotée de moyens humains et matériels, contrôlée par la population de façon démocratique et être garante de la devise de la République : Liberté - Égalité – Fraternité ». La CGT de Haute Corse conclut en soulignant qu’elle « sera toujours du côté de ceux qui défendent la liberté de manifester, la liberté́ d’informer et des services publics garants de toutes les libertés ».