Pourtant plus que les six buts encaissés en deux rencontres, ce sont les deux défaites consécutives qui chiffonnent Frédéric Hantz.
"Je pense qu'il ne faut pas se focaliser sur les buts encaissés. Ce qui pourrait m'interpeller davantage ce sont les deux défaites d'affilée. C'est par rapport à ce constat que j'attends une réaction de mes joueurs" disait à l'heure de la conférence de presse d'avant match l'entraîneur bastiais.
"D'autant que derrière, à l'image de Nancy, ça va très vite".
Hantz, on le sait depuis le début de la saison, vise le top 14. "Mais si nous ne sommes pas dans les clous pour atteindre cet objectif et s'il faut cravacher jusqu'au baisser de rideau face Sochaux, je le ferais" martelait Hantz.
Mais le Sporting n'en est pas là.
A une poignée de points du maintien il peut, par-delà les éventuelles sanctions que peut, encore une fois, lui infliger la commission de discipline de la LFP, regarder bien plus vers le haut que derrière lui.
Reste que ce match face à Toulouse (20 heures à Furiani) ne sera pas évident à gérer pour les deux équipes. Parce que ainsi que le souligne Hantz, " si le maintien n'est pas loin, il n'est pas encore acquis".
Et même si ces 90 minutes, face à un adversaire qui est redloutable dans le jeu sans ballon, pourraient, enfin, valider un nouveau visa pour la Ligue 1, rien ne se fera, selon Hantz, "sans lucidité et constance".
Et un double souci : celui de la gestion du match et de sa gestion technique.
A Landreau, Bonnefoi, Harek, Choplin, Marchal, Inkoom, Cioni, Faty, Palmieri, Cahuzac, Sablé, Rothen, Khazri, Beauvue, Thauvin, Ilan, Modeste et Maoulida de faire ce qu'il convient pour que le bleu du Sporting flirte la saison prochaine avec la Ligue 1.
Ils en ont largement les moyens.
"Je pense qu'il ne faut pas se focaliser sur les buts encaissés. Ce qui pourrait m'interpeller davantage ce sont les deux défaites d'affilée. C'est par rapport à ce constat que j'attends une réaction de mes joueurs" disait à l'heure de la conférence de presse d'avant match l'entraîneur bastiais.
"D'autant que derrière, à l'image de Nancy, ça va très vite".
Hantz, on le sait depuis le début de la saison, vise le top 14. "Mais si nous ne sommes pas dans les clous pour atteindre cet objectif et s'il faut cravacher jusqu'au baisser de rideau face Sochaux, je le ferais" martelait Hantz.
Mais le Sporting n'en est pas là.
A une poignée de points du maintien il peut, par-delà les éventuelles sanctions que peut, encore une fois, lui infliger la commission de discipline de la LFP, regarder bien plus vers le haut que derrière lui.
Reste que ce match face à Toulouse (20 heures à Furiani) ne sera pas évident à gérer pour les deux équipes. Parce que ainsi que le souligne Hantz, " si le maintien n'est pas loin, il n'est pas encore acquis".
Et même si ces 90 minutes, face à un adversaire qui est redloutable dans le jeu sans ballon, pourraient, enfin, valider un nouveau visa pour la Ligue 1, rien ne se fera, selon Hantz, "sans lucidité et constance".
Et un double souci : celui de la gestion du match et de sa gestion technique.
A Landreau, Bonnefoi, Harek, Choplin, Marchal, Inkoom, Cioni, Faty, Palmieri, Cahuzac, Sablé, Rothen, Khazri, Beauvue, Thauvin, Ilan, Modeste et Maoulida de faire ce qu'il convient pour que le bleu du Sporting flirte la saison prochaine avec la Ligue 1.
Ils en ont largement les moyens.