Stade des Costières, Nîmes Olympique : 0 SC Bastia : 0
Arbitre : Guillaume Paradis
Avertissements : Guessoum (45e),Nguessan (79e) à Nîmes; Vincent (45e et 60e), Santelli (45e) au SC Bastia
Exclusion : Vargas (26e) à (Nîmes), Vincent (60e), Magri (89e) à Bastia
Nîmes
Maraval - Durand de Geviney - Burner- Guessoum - Vargas - Pagis puis Koné (67z) - Fomba - N'Guessan - Labonne - Tchokounté puis Delpech (79e) - Omarsson puis Sadzoute (46e)
SC Bastia
Boucher - Kaiboué - Ndiaye, Joris Sainati - Van Den Kerkhof - Ducrocq - Roncaglia puis Salles-Lammonge (63e) - Tavares puis Talal (74e) - Vincent - Santelli puis Magri (63e) - Alfarela
Il aura fallu attendre l'expulsion de Vargas à la 26e minute, même si la première occasion de la soirée avait été signé Alfarela en tout début de soirée, pour voir le jeu s'animer sur la pelouse des Costières.
Jusque-là en effet si les Nîmois monopolisaient le ballon depuis le début de la rencontre, rien de décisif d'un côté comme de l'autre n'était véritablement à souligner.
Cette vilaine faute de Vargas, qui a écrasé la cheville de Tavares, contribuait certes à mettre de piment à une partie qui en manquait singulièrement mais il fallait attendre la 37e minute, après une autre période au cours de laquelle Nîmes ne paraissait pas pâtir de son infériorité numérique, pour voir le Sporting prendre, enfin, un peu de hauteur.
En effet, à la suite d'une une tentative lointaine de Kaiboue, Maraval, le gardien local, était obligé de obligé de s'employer de belle façon pour repousser le danger. Pourtant Santelli, à l'affût, qui avait a suivi le mouvement venait reprendre le ballon renvoyé par Maraval puis armait une frappe depuis la droite de la surface de réparation. Sa tentative passait à quelques centimètres de la lucarne droite du but de Maraval.
Cette opportunité réveillait quelque peu les velléités bastiaises mais à l'heure de rentrer aux vestiaires le Sporting n'avait pas tiré profit de supériorité numérique.
A la reprise les Corses de Brouard espéraient bien tirer profit de leur fin de première période mais l'exclusion de Vincent pour un deuxième carton jaune, changeait complètement les donnes d'un match où coup sur coup Nîmes par Tchokounté puis par Pagis avaient l'occasion de faire briller le gardien visiteur Boucher.
A l'entame du dernier quart d'heure Brouard, désireux de faire la décision, ajoutait un atout offensif à son jeu -Talal en l'occurrence.
Il fallait alors tout le talent de Maraval pour s'opposer à Alfarela trouvé dans la profondeur par Talal justement. C'était ensuite Guessoum qui reprenait dans les derniers mètres Alafarela qui filait vers le but nîmois et Maraval qui sauvait encore son camp.
Dans le camp opposé Sainati jouait les pompiers de service face à Koné qui s'apprêtait à reprendre un bon centre nîmois.
A ce stade de la rencontre on sentait bien que tout pouvait basculer d'un côté comme de l'autre, mais malgré le carton rouge infligé à Magri la marque n'allait pas évoluer.
Le Sporting a certes pris un point mais il aurait pu beaucoup mieux faire surtout durant tout le temps où il avait pu bénéficier de sa supériorité numérique
Arbitre : Guillaume Paradis
Avertissements : Guessoum (45e),Nguessan (79e) à Nîmes; Vincent (45e et 60e), Santelli (45e) au SC Bastia
Exclusion : Vargas (26e) à (Nîmes), Vincent (60e), Magri (89e) à Bastia
Nîmes
Maraval - Durand de Geviney - Burner- Guessoum - Vargas - Pagis puis Koné (67z) - Fomba - N'Guessan - Labonne - Tchokounté puis Delpech (79e) - Omarsson puis Sadzoute (46e)
SC Bastia
Boucher - Kaiboué - Ndiaye, Joris Sainati - Van Den Kerkhof - Ducrocq - Roncaglia puis Salles-Lammonge (63e) - Tavares puis Talal (74e) - Vincent - Santelli puis Magri (63e) - Alfarela
Il aura fallu attendre l'expulsion de Vargas à la 26e minute, même si la première occasion de la soirée avait été signé Alfarela en tout début de soirée, pour voir le jeu s'animer sur la pelouse des Costières.
Jusque-là en effet si les Nîmois monopolisaient le ballon depuis le début de la rencontre, rien de décisif d'un côté comme de l'autre n'était véritablement à souligner.
Cette vilaine faute de Vargas, qui a écrasé la cheville de Tavares, contribuait certes à mettre de piment à une partie qui en manquait singulièrement mais il fallait attendre la 37e minute, après une autre période au cours de laquelle Nîmes ne paraissait pas pâtir de son infériorité numérique, pour voir le Sporting prendre, enfin, un peu de hauteur.
En effet, à la suite d'une une tentative lointaine de Kaiboue, Maraval, le gardien local, était obligé de obligé de s'employer de belle façon pour repousser le danger. Pourtant Santelli, à l'affût, qui avait a suivi le mouvement venait reprendre le ballon renvoyé par Maraval puis armait une frappe depuis la droite de la surface de réparation. Sa tentative passait à quelques centimètres de la lucarne droite du but de Maraval.
Cette opportunité réveillait quelque peu les velléités bastiaises mais à l'heure de rentrer aux vestiaires le Sporting n'avait pas tiré profit de supériorité numérique.
A la reprise les Corses de Brouard espéraient bien tirer profit de leur fin de première période mais l'exclusion de Vincent pour un deuxième carton jaune, changeait complètement les donnes d'un match où coup sur coup Nîmes par Tchokounté puis par Pagis avaient l'occasion de faire briller le gardien visiteur Boucher.
A l'entame du dernier quart d'heure Brouard, désireux de faire la décision, ajoutait un atout offensif à son jeu -Talal en l'occurrence.
Il fallait alors tout le talent de Maraval pour s'opposer à Alfarela trouvé dans la profondeur par Talal justement. C'était ensuite Guessoum qui reprenait dans les derniers mètres Alafarela qui filait vers le but nîmois et Maraval qui sauvait encore son camp.
Dans le camp opposé Sainati jouait les pompiers de service face à Koné qui s'apprêtait à reprendre un bon centre nîmois.
A ce stade de la rencontre on sentait bien que tout pouvait basculer d'un côté comme de l'autre, mais malgré le carton rouge infligé à Magri la marque n'allait pas évoluer.
Le Sporting a certes pris un point mais il aurait pu beaucoup mieux faire surtout durant tout le temps où il avait pu bénéficier de sa supériorité numérique