Filippo di Carlo - archives CNI
Vers 2h30 de samedi 24 octobre Filippo di Carlo a été victime d’une agression à l'extérieur d'une discothèque à Corte. "Il était seul à l'extérieur du local, en train de nous attendre pour faire retour à Bastia, quand il a été alpagué et violemment tabassé par 10, 15 jeunes âgés entre 20 et 30 ans, explique Jean-Antoine Giacomi, ancien candidat à la présidence de l'exécutif de Corse, qui se trouvait sur place au moment des faits. "Il avait le visage complètement de travers, on l'a reconnu grâce à ses chaussures".
Blessé, le jeune restaurateur bastiais, leader de Forza Nova, a été transporté au centre hospitalier de Corte d'où il a rapidement été transféré à l'hôpital de Falconaja pour passer des examens plus approfondis en raison d'un hématome intra-cérébral.
21 jours d’ITT pour la victime
La victime qui "a plusieurs os du visage cassés" a été frappée à plusieurs reprises à la tête et a écopé de 21 jours d’ITT, confirme son avocat, maître Gérard Tiberi, qui précise que l'état de santé de son client n'est pas encore consolidé. "Filippo De Carlo a été victime d’un acte cruel, barbare commis avec préméditation en bande organisée où la tentative d’assassinat n’est pas à exclure." précise l'avocat, "aucun coup n'a été porté au corps, seule la tête a été visée."
Après le dépôt de plainte de la victime, une enquête a été ouverte pour" violences aggravées" avec interruption totale de travail supérieure à huit jours, à appris CNI ce lundi 25 octobre auprès du parquet de Bastia. Les investigations ont été confiées à la section de recherches de la gendarmerie de Corte.
"Filippo De Carlo est victime d’un lynchage public"
Les images, filmées sur un téléphone portable, ont été publiées sur Twitter où selon Jean-Antoine Giacomi "Après le lynchage de la rue, Filippo De Carlo est victime d’un lynchage public sur les réseaux sociaux où la calomnie viendrait justifier les actes odieux et crapuleux dont il a été victime."
Blessé, le jeune restaurateur bastiais, leader de Forza Nova, a été transporté au centre hospitalier de Corte d'où il a rapidement été transféré à l'hôpital de Falconaja pour passer des examens plus approfondis en raison d'un hématome intra-cérébral.
21 jours d’ITT pour la victime
La victime qui "a plusieurs os du visage cassés" a été frappée à plusieurs reprises à la tête et a écopé de 21 jours d’ITT, confirme son avocat, maître Gérard Tiberi, qui précise que l'état de santé de son client n'est pas encore consolidé. "Filippo De Carlo a été victime d’un acte cruel, barbare commis avec préméditation en bande organisée où la tentative d’assassinat n’est pas à exclure." précise l'avocat, "aucun coup n'a été porté au corps, seule la tête a été visée."
Après le dépôt de plainte de la victime, une enquête a été ouverte pour" violences aggravées" avec interruption totale de travail supérieure à huit jours, à appris CNI ce lundi 25 octobre auprès du parquet de Bastia. Les investigations ont été confiées à la section de recherches de la gendarmerie de Corte.
"Filippo De Carlo est victime d’un lynchage public"
Les images, filmées sur un téléphone portable, ont été publiées sur Twitter où selon Jean-Antoine Giacomi "Après le lynchage de la rue, Filippo De Carlo est victime d’un lynchage public sur les réseaux sociaux où la calomnie viendrait justifier les actes odieux et crapuleux dont il a été victime."
Une vidéo a été diffusée sur Twitter
Le soutien de Forza Nova
« Forza Nova apporte son soutien fraternel à Filippo De Carlo, victime d’un lynchage dans les rues de Corti, et lui souhaite un bon rétablissement. Les désaccords politiques doivent rester dans le débat d’idée et ne peuvent se transformer en passage à tabac dans une société démocratique. En démocratie, il n’existe pas de tribunal de la rue. La justice est bien évidemment saisie de ces faits.
Ces méthodes dignes des pires banlieues françaises ont bien imprégné la mentalité de nos jeunes insulaires. Il devient coutume sur notre terre que dix personnes s’amusent à passer à tabac un individu pour des raisons fallacieuses. En effet, après le lynchage de la rue, Filippo De Carlo est victime d’un lynchage public sur les réseaux sociaux où la calomnie viendrait justifier les actes odieux et crapuleux dont il a été victime.
La Corse ne peut accepter ces agissements aux antipodes des valeurs de notre société. La Corse ne peut s’habituer à ces lynchages barbares et cet ensauvagement de la société. La Corse n’est plus à l’abri des agissements banlieusards.
Filippo De Carlo a été victime d’un guet-apens avec préméditation en bande organisée où la tentative d’assassinat n’est pas à exclure. Les coups portés n’étaient pas pour blesser mais bien pour tuer : aucun coup porté au corps, seule la tête était visée. La prise et la diffusion de cette vidéo ont également été organisées aux fins de justifier publiquement l’impardonnable.
Forza Nova demande à la Collectivité de Corse de se saisir urgemment de ce dossier de l’insécurité en Corse qui devient un problème pesant pour nombre de nos concitoyens. »
Ces méthodes dignes des pires banlieues françaises ont bien imprégné la mentalité de nos jeunes insulaires. Il devient coutume sur notre terre que dix personnes s’amusent à passer à tabac un individu pour des raisons fallacieuses. En effet, après le lynchage de la rue, Filippo De Carlo est victime d’un lynchage public sur les réseaux sociaux où la calomnie viendrait justifier les actes odieux et crapuleux dont il a été victime.
La Corse ne peut accepter ces agissements aux antipodes des valeurs de notre société. La Corse ne peut s’habituer à ces lynchages barbares et cet ensauvagement de la société. La Corse n’est plus à l’abri des agissements banlieusards.
Filippo De Carlo a été victime d’un guet-apens avec préméditation en bande organisée où la tentative d’assassinat n’est pas à exclure. Les coups portés n’étaient pas pour blesser mais bien pour tuer : aucun coup porté au corps, seule la tête était visée. La prise et la diffusion de cette vidéo ont également été organisées aux fins de justifier publiquement l’impardonnable.
Forza Nova demande à la Collectivité de Corse de se saisir urgemment de ce dossier de l’insécurité en Corse qui devient un problème pesant pour nombre de nos concitoyens. »