Ce jour-là deux hommes vêtus de noir, cagoulés s'éteint présentés devant la journaliste. L'un d'entre eux portait une arme lourde qu'il a posée ensuite au sol. Communiqué de presse dans la main droite, pistolet dans la main gauche l'homme avait assuré: "Il y a dix personnes aujourd'hui, ils sont cachés et vous observent".
Dans ce tract le FLNC 76 dénonçait "'l'inaction et l'incapacité de l'Etat français dans la gestion de la crise de Covid-19 ". Il faisait également appel à la cour européenne des droits de l'homme pour mettre un terme à la détention de Jean-Pierre Santini et évoquait l'islamisme radical sur l'île en demandant à "leurs amis musulmans de Corse de les informer de toute suspicion de fascistes islamistes."
Le représentant de l'organisation clandestine, qui a appelé au "réveil du peuple" avait aussi prévenu "on ne se contentera plus de simples apparitions".
Ce samedi l'AFP rapportait que le parquet national antiterroriste avait ouvert une enquête pour "association de malfaiteurs terroriste"
Dans ce tract le FLNC 76 dénonçait "'l'inaction et l'incapacité de l'Etat français dans la gestion de la crise de Covid-19 ". Il faisait également appel à la cour européenne des droits de l'homme pour mettre un terme à la détention de Jean-Pierre Santini et évoquait l'islamisme radical sur l'île en demandant à "leurs amis musulmans de Corse de les informer de toute suspicion de fascistes islamistes."
Le représentant de l'organisation clandestine, qui a appelé au "réveil du peuple" avait aussi prévenu "on ne se contentera plus de simples apparitions".
Ce samedi l'AFP rapportait que le parquet national antiterroriste avait ouvert une enquête pour "association de malfaiteurs terroriste"