Gilles Simeoni : "Le Conseil exécutif de Corse n’a jamais été consulté sur le #couvrefeu"
Forza Nova : " Ces mesures vont détruire l’économie locale déjà mise à mal suite au confinement. "
« Le gouvernement français, sans concertation avec les autorités locales et notamment la Collectivité de Corse, a décidé d’imposer un couvre-feu aux corses pendant une durée d’au moins 6 semaines. Cette mesure s’accompagne également de la fermeture de tous les débits de boissons et des salles de sport, restreignant toujours plus la liberté de nos concitoyens. Ces mesures du gouvernement français et du préfet de Corse sont un aveu d’échec de toutes les décisions prises précédemment, notamment le port obligatoire du masque dans certaines communes de Corse. Ces nouvelles dispositions, dont rien ne prouve l’efficacité, vont détruire l’économie locale déjà mise à mal suite au confinement. L’État français, par ses dirigeants, porte l’entière responsabilité de la situation sanitaire sur notre île en ayant, durant toute la période estivale, laissé entrer sur notre territoire des centaines de milliers de touristes sans aucun contrôle et suivi. De plus, l’État a rejeté toutes les mesures de bon sens adoptées par la Collectivité de Corse comme le Green Pass.
Le lundi 26 octobre, à 15h, Forza Nova se joindra, par solidarité aux commerçants touchés par ces mesures inadaptées et discriminatoires, au rassemblement prévu devant la Préfecture de Bastia. Nous ne pouvons laisser l’État français et son représentant local continuer à mener leur dictat sanitaire en toute impunité. « Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. Soyez résolus de ne servir plus, et vous serez libres. », Etienne de la Boétie. »
Le lundi 26 octobre, à 15h, Forza Nova se joindra, par solidarité aux commerçants touchés par ces mesures inadaptées et discriminatoires, au rassemblement prévu devant la Préfecture de Bastia. Nous ne pouvons laisser l’État français et son représentant local continuer à mener leur dictat sanitaire en toute impunité. « Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. Soyez résolus de ne servir plus, et vous serez libres. », Etienne de la Boétie. »