Face à ces inquiétudes, le sénateur Jean-Jacques Panunzi a fait parvenir le 2 novembre dernier un courrier au préfet. « Je suis pour ma part convaincu qu’il ne faut pas baisser la garde » écrit-il, « et qu’il est d’une impérieuse nécessité de maintenir un niveau de prévention maximal ». Et pour le sénateur, « seul le maintien des restrictions actuelles, telles qu’édictées dans l’arrêté préfectoral n°15-580, constitue un moyen de lutte efficace contre la bactérie. C’est pourquoi je vous demande de le pérenniser pour préserver la Corse de l’introduction de nouvelles souches ou sous-espèces de Xylella Fastidiosa qui s’avèreraient ravageuses ».
À l’Assemblée de Corse, le groupe Per l’Avvene, présidé par Jean-Martin Mondoloni, a également déposé une motion afin de demander « le maintien en vigueur du niveau actuel de protection de l’arrêté préfectoral n°15-580 du 30 avril 2015 relatif à la prévention de l’introduction de Xylella Fastidiosa en Corse ».
La motion, renvoyée en commission, sera instruite à la fin du mois.
À l’Assemblée de Corse, le groupe Per l’Avvene, présidé par Jean-Martin Mondoloni, a également déposé une motion afin de demander « le maintien en vigueur du niveau actuel de protection de l’arrêté préfectoral n°15-580 du 30 avril 2015 relatif à la prévention de l’introduction de Xylella Fastidiosa en Corse ».
La motion, renvoyée en commission, sera instruite à la fin du mois.